Chapitre 12: Un beau spa!

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Le trajet en avion se passa sans réel accrochage. Les pilotes expérimentés ont réussi à nous faire atterrir sans encombre. Un fois à l'aéroport de Montréal. Moi, Éliza et sa mère, nous avons ensemble pris la route pour nos luxueuse chambre d'hôtel, qui avec chance, et surtout grâve à mes contactes son à côté l'une de l'autre.

Notre séjours d'une semaine allais nous permettre de non seulement visité Montréal, mais aussi Québec et une belle surprise les attendes , pour la veille de leur départ. Mais pour aujourd'hui, le spas et le mini bar seront mes meilleurs amis!

Bien sure, avant de rejoindre ma chambre, j'ai aidé ma belle Éliza et sa mère à bien s'installer dans leur chambre. Puis ce fut mon tours. Je n'apporte jamais grand chose en voyage. Une valise remplit de smoking méticuleusement bien rangé, avec quelque tenu quotidienne. Puis un petit sac de cuire remplit de babiole, crème à rasage, peigne à cheveux, rasoire... Bref l'important.

Maintenant bien assis, je me verse un petit verre de Rhum, un bouteil que j'ai précédemment acheté.

- Mmmh... Quelle goût merveilleux! Pensais-je à voix haute.

Je regarda allors ma montre, 21h35. Éliza va bientôt me rejoindre, lorsque sa mère aura pris ses médicaments pour le sommeil, puisque celle-ci pourrais ce réveiller en pleine nuit et ne pas savoir ce quelle fait dans une chambre d'hôtel. Éliza préfère prendre de plus ample précaution...

J'enfile mon maillot de bain et, deux verre à la mains, je vais m'assoir dans le spas de ma chambre, qui est sur le balcon. Plusieurs minutes passe sans qu'aucun bruit ne vienne me déranger... Quand soudain, quelque pas approchère. Je me retourna et vu alors pour la première fois, face à moi, Éliza nu comme un ver. Elle s'assis alors à côté de moi.

- La température est parfaite, as tu porte un maillot?

- Bien sure que oui! Toi non, on pourrait te voir!

- Et qui donc? Les palissades du balcon son plus haut que le spas, le plus que l'on pourrais voir, se sont mes magnifiques épaules!

- Oui tu as probablement raison...

Sans rien rajouter, je retira mon maillot et me retrouva nu, moi aussi.

- Voilà, nous somme égaux, dit-je en lançant mon maillot sur le balcon. Tiens, c'est du champagne!

- Il est délicieux, merci pour tout, c'est vraiment apprécié... Je ne sais pas comment te remercier...

- Ton sourire est mon plus beau cadeau!

Elle me regarda en souriant, elle semblait épanouie. Elle s'approcha doucement de moi et tout en déposant sa coupe, vint s'assoir sur moi et me donna un énorme baisé qui dura ce qui me semblait être une éternité... Elle me regarda une seconde fois dans les yeux, cela me fit fondre. Je sentais qu'en moi montais un plaisir immense et palpable excitation.

                                           ***

J'étais assis par dessus lui, mon baisé avait eu l'objectif escompté. Je sentais qu'il durcissais sous moi et je ne pouvais pas m'arrêter de m'imaginer mouiller abondamment dans le spa. Je plongea alors ma tête dans son cou et délicatement, je suis venu lui déposer un bisous qui se transforma peu à peu en un « suçon ». Toujours sur lui, je remonta à sa bouche et l'embrassa fougeusement. Sa verge était bien dure en-dessous de moi.

Le temps étais venu, sans hésiter, je mis ma main sous l'eau à la rechercher de son engin. La recherche fut simple et je tennais maintenant en main son pénis. J'en profita alors pour faire quelque vas et viens avec ma main. Ce qui lui dira un petit gémissement rauque. Je sentais sa respiration s'accélérer et devenir plus difficile...

Je sentais en moi un plaisir inconnu monter de plus en plus. La sentation de l'eau chaude contre mon intimité me rendais folle! J'en voulais plus, j'ai alors d'un coup enfoncer son pénis dans mon vagin. La sentation fut explosive, je commença alors à faire de long va et viens sur lui. Je continuais à l'embrasser fougeusement. J'avais beaucoup de difficulté à retenir mes cris, mes gémissement étais sec et s'accader. J'adorais ça! La sentation de l'eau sur mon corp. Mon clitoris était bien gros et sensible, alors avec ma main droite, je vint le pincer et le frotter assez pour montez mon excitation d'un niveau! Je me sentais faiblir à chaque coup de rein. Alors au moment où je me senta jouir, je sortit son engin d'a l'intérieur de moi et me dirigea vers le lit... Il m'emboita le pas, je lui dit alors de ce coucher sur celui ci. J'approcha ma bouhe lentement de son pénis, qui avais faiblement ramollit.

Je viens alors le prendre entre mes lèvres. Du boute de ma langue, je parcours de long en large et de bas en haut son pénis. Je dépose alors ma bouche sur son gland et commence lentement à l'entrée dans ma bouche, au début, je n'entre que le début de la verge, puis peut en peu j'accélère et en voyant que Jace commence à se souffler assez fort pour que je l'entend, je l'enfonce cette fois ci plus profondément, mais sans ralentir. Puis au moment où je sens qu'il va jouir, je le sort doucement de ma bouche.

- À mon tours mon beau.

- Couche toi aussi, me dit-il.

Je me coucha alors sur le dos. Il déposa sur ma bouche un doux baisée. Il descendit jusqu'à mes seins et les embrassa furtivement. Il se rendit jusqu'à mon intimité fraîchement rasée. Il commença par lècher du bout de la langue mon clitoris, je ne pu m'empêcher de lâcher un petit cris au passage. Il s'en rendit compte et sans crier garde et enfonça en moi un doigt. Il savait très bien où l'enfoncer et comment, si bien qu'il me fit rapidement perdre la carte. Il continua ses vas et vient, puis enfonça deux doigt. Je me sentais pleine, j'avais envie de plus, je me sentais faiblir.

Lui continuant ces coup de langue contre mon petit bouton d'or  et moi suppliant pour faire durer ce moment à jamais! Puis au bord de l'explosion, il s'arrêta...

- Tu aime?

- O...ouais... pou...pourquoi t'avoir... arrêté? Dit-je essoufflé.

- Parce que j'ai envie de toi d'une autre façons, mets toi à quatre pattes!

J'obéis, maintenant à quatre pattes, de dos à lui, il approcha sa verge de mon vagin et y entra sans difficulté, tellement je mouillais pour lui. Cette nouvelle sentations me prise de court et mon excitation repris de plus belle, il décrivais de puissant vas et viens. J'ai eu le souffle couper jusqu'à ce que je jouis, lui toujours au fond de moi! Je peinais à respirer, et lui continuais ces coup de bassin jusqu'à ce que je sente en moi trois long jets de semence chaude y entrer... Il tomba à côté de moi, essoufflé également, je n'étais pas inquiète par ce qu'il venais de faire, puisque je prenais la pillule.

- Alors ma belle... prête pour un deuxième round?

- Ohh que oui...

                                         ***

Le journal de JaceOù les histoires vivent. Découvrez maintenant