Chapitre 8: Et si j'essayais...

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*Avertissement, si vous ne voulez pas lire du Yaoi (relation homosexuelle masculine) veiller changer de chapitre et vous rendre directement au suivant, les autres, bonne lecture* (ps: si l'autre chapitre n'est pas écrit, ne vous en faite pas, ça va venir)

- Oui allo?

- Oui, Carl?

- Oui c'est moi, qui est à l'appareil?

- C'est Jace, je voulais prendre de tes nouvelles...?

- Je vais bien merci,  et toi?

- Je vais bien, mais en fait, la vrai raison de mon appelle c'est pour... euh... savoir si tu... voudrais... venir souper avec moi ce soir?

- Et bien... j'ai rien de prévu ce soir.

- Parfait, on ce voit à 18h30 devant l'hôtel, c'est correct pour toi?

- Oui, à tantôt!

- Oui, à tantôt!...

Voilà, que ces stressant, je n'arrive pas à croire que j'ai un rendez-vous avec un mec ce soir. Je doit avouer que je n'ai jamais osé faire l'amour avec un garçon. Peut-être que ça n'arrivera pas ce soir, peut être que nous ne ferrons qu'un souper entre amis... d'un coté, j'ai pas vraiment envie que ce souper reste "calme".

Et bien, je crois que je vais être servie...

                                          ***
18h29 à l'entrée de l'hôtel.

Il étais là, à l'heure, avec son complet le plus beau, le sourire au lèvre, je dois avouer, que ainsi, il me donnais des sueurs froides. Moi, vêtu d'un complet gris cendre, je me trouvais entre chic et moyennement chic. Il paraissais nerveux, et quand il ma vu du regard, je l'ai tout de suite sentit moi stresser...

- J'avais peur que ton offre ne tienne plus, ça fait une dizaine de minutes que j'attend.

- Je suis désolé, mais me voilà, c'est ça l'important non?

- Oui...

- Allons y, le taxis ne devrais pas tarder, je l'ai appeler dans l'ascenseur. En parlant du loup, il est arriver! Aller vient, je ne mord pas.

Il m'accompagna, et comme deux amis, nous nous somme assis sur la banquette arrière du taxis. Notre conversation n'avais pas vraiment de sens, elle partais dans tous les sens. Je crois que c'est plus le malaise de la situation. Et nous avons été très heureux, lorsque la voiture c'est arrêter devant le restaurent chic le plus chic de toute la ville.

Assis en tête à tête, nous avons commandé tout les deux des ailes d'autruche épicés accompagné d'une bière exotique. La total quoi!

- Et puis, comment trouve tu ton séjours ici, t'ennuie tu de ton pays?

- Non, je me plais bien ici, mais je dois avoué que parfois, la distance frappe plus que d'autre fois. Certain moment, le simple fait d'être loin de chez moi, ça me donne la nausée...

- Je comprend parfaitement, je me sens comme ça parfois, et là, maintenant, tu ressent tu ça?

- Non, je me sens bien, je suis en bonne compagnie.

Nos plats son arriver au même moment. Nous avons manger dans un silence maladroit, il mangeais très bien avec grâce. Et puis le dessert. Je ne sais pas pourquoi, mais Carl à parler un moment avec le serveur, qui est repartit en cuisine sans prendre ma commande.

- Je ne comprend pas, il n'a même pas pris ma commande, c'est étrange, je vais attendre qu'il revienne.

- Pas la peine, j'ai commander pour toi!

- Ah oui, tu as fait ça?

- Oh que oui j'ai fait ça! dit il en riant.

Un bols immense de crème glacé au truffe est arriver à ma table.

- C'est quoi? Il n'y a qu'un bols et une cuillère! (Il faut dire que dans ce restaurent, les ustensiles sont donner par les employer à l'arriver de notre plat, pour garantir leur propreté). Je vais rappeler le serveur pour une autre cuillères...

- Non, on se débrouillera, il doit être déborder ailleurs. (En fait, notre tables est situer dans un endroit VIP du restaurant, donc pour 10 fois le prix, nous avons une pièce à nous seul.)

Il pris la cuillère, la trempa dans la crème glacée et la porta à ma bouche. Je venais de comprendre son tours, il avais commander au serveur le dessert et l'unique cuillère dans le but de nous rapprocher. Je pris la cuillère et fit le même geste que lui. Nous avons répéter ce petit manège plusieurs fois.

- Attend tu as quelque choses sur le bord de la bouche, je vais te l'enlever! Lève toi je vais t'aider, dit il en se levant.

- Ah oui? Ok attend.

Je me mis debout, il s'approcha, il devait faire presque qu'une tête de plus que moi, il enleva le morceau de glace que j'avais sur le bord de la bouche. Il approcha ses lèvres des miennes et il m'embrassa tendrement, le baisé dura plusieurs seconde. Et puis, lorsque nos lèvres ce sont décoller, j'ai pu voir Lyana devant nous, dans la pièce. Elle me regardais, les yeux grand ouvert. Elle versa une larme et partit en courant! Je voulu la suivre, mais Carl m'attrapa la manche.

- Ça va?

- Oui oui, je revient, attend moi ici, s'il te plais.

Je partis alors au trousse de Lyana. Je sortit du restaurant. Je la cherchais des yeux, j'étais inquiète et je l'aperçu, en larme sur le bord d'une ruelle...

- Lyana... ce que tu as vu... je suis désolé...

- Tu ma mentit... moi qui as été assez folle pour croire qu'un homme comme toi pouvais m'aimer, mais je me suis tromper, comme à chaque fois.

- Oui mais...

- Pourquoi moi? Pourquoi me faire tout ce mal?

- Je ne sais pas... je suis...

- désolé, comme tout les autres, et t'inquiète, je sais tenir ma langue, mais ne m'adresse plus jamais la parole...

Elle me tourna le dos, toujours en larme. Et partit en courant. J'étais muet, bouche bée, incapable de parler. Elle semblait si triste, je pensais avoir été claire avec elle, mais je vois que ce n'ai pas la cas... Mais ça me faisais quelque chose.

Je suis retourner à l'intérieur, Carl m'attendais debout, en silence. Je me suis approcher, et je l'ai aussi tôt embrasser.

- Ce soir, je suis as toi, et tu est as moi...

***

Nous somme aller dans sa chambre d'hôtel, il y faisais chaud. J'ai enlever mon chandail. Il as fait pareil. Il étais musclé, il avais les abdos qui se découpais sur son corps, et son torse étais l'un des plus musclé que j'ai eu la chance de voir.
Il s'approcha de moi et nous nous somme mis à nous embrasser avec passion. La langue se prêtant au jeux, nos langue faisais la valse dans nos bouche.

Il mis sa main sur mes fesses, ça me fit frissonner, je fit de même, empoignant fermement ses fesses bombé. Je me mis as genoux, on pouvais voir son membre gonflé au travers de son jean, et d'un mouvement, je descendit son jeans. Il se retrouva, en boxeur devant moi. J'enleva à mon tous mon jean, je ne portais aucun sous-vêtement, et je me retrouva penis à l'air sous ses yeux.

Je déchira ses boxeur et découvrit un engin plutôt imposant.

- Je ne veut pas aller trop loin, je ne suis pas encore prêt... mais je sais me faire pardonner...

Je le coucha sur son lit, et je grimpa sur lui comme un tigre pour ensuite redescendre jusqu'à son penis. Je le mis dans ma bouche et commença ma félation. Il semblait apprécier (J'en ai reçu par des femmes, mais en faire, une première) mais je crois que moi aussi j'ai aimé ça, parce que j'ai eu une grosse érection, au moment où il me dit qu'il éjaculerais, j'ai sortit sont membre de ma bouche et deux vas et vient avec mon poignet au suffis pour le faire jouir. À mon tours... il se pencha sur mon cas, et me mis sur le dos sans trop de misère et il commença à son tours une "pipe" qui me fit moi aussi atteindre l'orgasme...

Le journal de JaceOù les histoires vivent. Découvrez maintenant