Je ne sais pas quand tout a commencé, pas non plus à quel moment ça a changé.
Sa façon de me regarder avait toujours était la même, un regard remplit d'amour. Je ne m'en suis jamais vraiment préoccupé, Presnel était le genre de personne à donner trop d'amour autour de lui. Je ne me suis jamais méfié, même le jour où il m'a avoué aimer les garçons. Rien ne laissait entendre que c'était moi dont il était amoureux. Qu'avais-je donc fais pour le mériter. Cet ange sans qui chaque jours seraient ternes, pas de joie, de rigolades, de musique à fond dans les couloirs du centre, mais surtout pas de câlins, de bisous, de surnoms, de babe, d'épaule sur laquelle je pouvais m'appuyer.
Même si j'adorais mon équipe nationale, quand j'étais à la Mannschaft c'était pas pareil son sourire me manquait trop. Alors je passais des heures en facetime, avec lui. Kévin et Thilo avaient fini par se douter que je ne pouvais pas le considérer comme mon meilleur ami, mais s'ils savaient, s'il savait que c'était son nom qui était inscrit sur mon poignet depuis mes 18 ans.
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The Names
FanfictionParce que c'était son nom écrit sur mon poignet depuis mes 18 ans. Parce qu'il était mon coéquipier. Parce que nous étions Draxembe.
