Les six enquêteurs aux six talents [ En Pause ]

Chapitre 4 : Le corps

Je me dirige vers l'hôpital où à été emmené la sœur de Sakura, tout en discutant de l'affaire avec les gars.

- On récapitule : Sa sœur s'appellait Miyumi, elle avait 20 ans, étudiante en médecine et un petit ami, avec qui elle venait de rompre, Akisa Sakashi.
Bon, on a pas beaucoup d'informations pour l'instant. Dit Mels dans l'oreillette.
- Oui, mais pour l'instant il faut aller voir le corps. Malison, tu demanderas d'étudier le corps dans toute son envergure.
- Oui, chef Midorima !
- Et arrête avec ça, ça devient énervant au bout d'un moment...
- D'accord !

Arrivé à l'hôpital, je me dirigea vers l'accueil pour demander à voir le corps.

- Bonjour, en quoi puis-je vous aidez ?

- Bonjour, je suis là pour voir le corps de Mademoiselle Miyumi Kurara, elle est morte la semaine dernière, elle a donc dû être transféré il y a quelques jours.
- Je vois de qui vous parlez, en effet. Mais je n'ai pas le droit de vous y emmener sans une autorisation ou un badge qui permettrait de vous identifier, et de plus vous m'avez l'air jeune pour pouvoir voir un tel spectacle.
- Un tel spectacle ? On m'avait juste dit qu'elle s'était cogné contre un meuble, ce n'est pas le cas ?
- Si, elle s'est bien cogné c'est son corps qui est bizarre, et peut même apercevoir quelques uns de ses organes par moment, c'est vraiment horrible. Mais comme je vous l'ai dis vous avez besoin sois d'un mandat soit d'un badge vous autorisant à entrer et puis vous paraissez bien trop jeune.
- Si vous saviez ce que j'avais déjà vu, à mon avis vous ne dirais pas que ce spectacle soit horrible à mes yeux. De plus le badge n'est pas un problème...

Je cherchais dans mon sac ma carte d'identification, c'est un peu un passe partout, en faite. Je le sortis et le tandis à la dame.

- Tenez. Voici ma carte d'identification. Vous me laissez passer maintenant ?

Elle prit ma carte et le passa au-dessus d'une machine afin de vérifier qu'il est bien vrai. Il semblerais qu'elle soit étonné de ça qu'elle lit sur son ordinateur.

- Vous...euh, vous faites partie des "six boys" ?

Bizarrement je ne suis pas étonnée par cette question.

- En quelque sorte, oui. Disons que les six boys sont les commendant et moi je suis l'un lieutenant, pour être plus précise une de leurs subalternes. Je peux y aller maintenant ?
- Oh, euh... Oui, oui allez y. De toute façon vous êtes sous le protection du gouvernement, alors...
- Merci.
- Allez au moins un et demander à voir le corps en présentant votre carte d'identification.
- D'accord.

Je commença à m'éloigner quand je l'entendit me poser une question.

- Est-ce vraiment votre identité, " ?

Je me retourna et lui répondit avec un grand sourire sur mes lèvres et les yeux fermer :

- Qui sait, peut être que oui, peut être que non. Au revoir.

Je me dirigea vers l'ascenceur et appuyais sur le bouton pour l'appeler.
Quand il arriva au rez de chaussée je montais à l'intérieur puis appuya sur le -2 afin de me rendre à l'étage où se trouvait le corps de la jeune fille.

Après quelques secondes d'attente j'arrivais au -2 et avançais tout pour tourné à droite au fond du couloir et commencer à apercevoir les agents de sécurité à leurs bureaux.

Ça n'a pas changer depuis la dernière fois que je suis venue.

Je ressortis mon chère passe partout et avançais jusqu'à une machine ou je la passa pour pouvoir ouvrir la porte se trouvant devant moi.

- Bienvenue, mademoiselle Malison Sakashi. Dit un agent de tenant debout le dos courbé pour me souhaiter la bienvenue.
- Merci.

Je rentrais dans le long couloir blanc en face de moi. En effet j'avais utilisé mon véritable passe partout consut par le gouvernement, ayant le signe de son appartenance à celui-ci d'ailleurs.

Au bout de cinq minutes environ, je m'arrêtai sur une porte à ma gauche et entrai le code d'accès afin de pouvoir rentrer.

En rentrant je vis des médecins légiste dispersés un peu partout dans la pièce. Je m'approchai d'une autre porte, cette fois ci à la droite et l'ouvri pour accéder à la pièce derrière.

- Bonjour mademoiselle Sakashi.
- Ravi de vous revoir docteur Ashina.
- Le plaisir est partagé.

J'allai posé mes affaires sur une table un peu à l'écart de celle où était posé le corps, j'en sortis mon ordinateur et l'allumait afin de pouvoir communiquer par vidéo avec les gars. J'ouvris skip et sélectionnai le contact avec qui je voulais communiquer. Le temps que la recherche se fasse j'enlevai mon oreillette et brancha mon ordinateur portable à un plus grand écran.

- Avez-vous déjà commencé à faire des analyse sans moi docteur Ashina?

- Oui, en effet voici mon premier rapport sur mon analyse première.

Le rapport :

Plusieurs coup de couteau à bout portant ainsi qu'une corrosion cérébrale sur le côté droit du crâne.

- J'ai aussi relever plusieurs empreinte ADN sur ses vêtements, il ne fait aucun doute qu'elle c'est débattu comme une force né fasse à son agresseur.
- Donc ça prouve l'hyppotèse du meurtre.
- Oui, en effet. Bonjour docteur Ashina..
- Akashi-sama ravie de vous revoir, dit-il en courbant le dos pour former une révérence.
- Ashina, il me semble que l'on s'était mis d'accord pour arrêter avec ces dire.
- Veuillez m'excuser ce sont les vielles habitudes.
- Ça ne fait rien.
- Prévenez avant de parler d'un seul coup, j'ai cru que j'allais faire un arrêt cardiaque.
- Et si on évitait sinon on aura un deuxième meurtre sur les bras et, cette fois-ci, on sera les fautif. Les justicier qui se retrouve en cage Ahha... Commenta Aomine qui partie dans un fou rire, accompagné de Kise, à sa propre blague.
- Bien si nous pouvons commencer messieurs et mesdames.
- Ne te préoccupe pas d'eux le vieux, commence qu'on en finisse, dit Mels.
- Très bien.

Il se retourna et enleva le drap recouvrant le corps de la victime pour la posé sur une autre table un peu plus loin.

- La victime à été asséner de coup de couteau dans le torse avec, en prime, une très forte collision à la tête, sûrement causé par une chute sur un meuble probablement en bois. Si je suis bien sûr d'une chose c'est que ce coup à la tête à causée la fin de ses jours et non les mille et coup de couteau. Je dirais même qu'il n'y qu'un seul coup qui à était causé juste avant la collision et que le reste à été avec rage, même si cette cher demoiselle était déjà morte.
- On peut donc en déduire que c'était un meurtre de vengeance ? Demanda Midorima.
- Je pense que c'est cela en effet.
- Ça raccourci déjà la liste des suspect, nan ?
- Oui tu as raison Malison, confirma Akashi. Midorima, Mels, regardez si vous pouvez trouver des informations autour mademoiselle Miyumi. Les deux rigolos vous allez aller les interoger, compris ?
- Oui Akashichi/Akashi.