Je l'as faisais entrer chez moi, son bras autour de mes épaules et mon bras autour de sa taille. Je l'aidais à marcher, en espérant que tout allait bien aller. Je finissais par déposer ma petite amie sur mon lit, et la regardais entrains d'agoniser. Je savais qu'elle n'allait pas mourir mais, il fallait faire vite. Vite, avant que l'infection ne se propage dans son corps. J'essayais de réfléchir mais, j'étais beaucoup trop stresser pour le faire. J'examinais la pièce d'un mur à l'autre, me disant qu'il me fallait quelque chose pour l'attacher. Je l'entendais crier de douleur, gémir, me supplier de la tuer. Sauf que, j'en étais incapable. Je voulais à tout prix là sauver. J'allais alors chercher des chaînes en métale, et attachais ses chevilles et ses poignets au lit. Je me reculais par la suite, et l'observais les larmes aux yeux. Je voulais crier pour appeler ma mère, mais j'en étais incapable.
"Ça va bien aller... "
Je lui répétais sans cesse cette phrase, qu'elle était sûrement fatiguée d'entendre. Sauf que, je ne pouvais rien faire de plus...
"Cathy...? Cathy, écoute-moi... Ça va bien aller, je vais trouver quelque chose..."
Je cherchais dans mes choses en faisant absolument tout tomber. La panique s'emparait de moi, tellement que tout mon corps tremblait. Puis soudain, j'entendais des bruits. J'aurais préféré ne jamais entendre ce genre de bruit mais, l'avenir en avait décider autrement. Cathy avait réussit à ce libérer. Je prenais alors, une grande inspiration et me retournais lentement vers elle. Elle ce tenait debout, devant moi, entrains de me regarder comme une enrager. Du sang lui coulait de la bouche, autour de ses yeux commençait à apparaître des sortes de veines rouge. Puis, son regard n'avait plus la même signification qu'avant. J'y voyais maintenant la mort, quand je l'as regardais. Je ne pouvais croire qu'un simple virus puisse faire de tel dégât... Je savais, à ce moment que si elle me sautais dessus, s'en était finis de moi.
"Cathy... "
Ma voix tremblait, j'avais peur. Peur de ma propre petite amie. Je regardais la porte de ma chambre, en me disant que je devais courir. Sauf que, c'était au moment où j'entendis ma mère m'appelais que je devinais que tout était perdu.
"Donovan ? "
Cathy ce retournait à une vitesse non humaine vers la voix de ma mère, et partais en courant vers elle. Pris de panique, je lui courais après en essayant désespérément de sauver ma mère.
"MAMAN, SAUVE TOI ! "
Mon coeur battait à milles à l'heure et la peur me contrôlait. Cathy montait sur le plafonds à quatre pattes, comme Spider-Man mais en beaucoup plus effrayant. Puis, elle sautait sur ma mère sans que je ne puisse faire quelque chose. Je regardais la scène en pleurant, sans pouvoir bouger de l'endroit tellement le choc était intense. Ma mère hurlait de douleur, pendant que ma petite amie la contaminait à coups de griffures. C'était horrible, mais, je devais prévenir les autres. Je courais alors vers la chambre de mon père, pendant qu'il était encore temps. Mon père dormait pendant que mon frère de 15 ans, était entrains d'écrire dans son journal. Je ne perdais pas de temps et secouais mon père pour qu'il ce réveille.
"PAPA ! PAPA !"
Je ne pouvais me retenir de crier. Mon coeur battait la chamade et je continuais de trembler à cause du stresse. Mon père finissait par ce réveiller et me regardais à moitier endormi. Je voulus lui expliquer ce qui ce passait mais, il était trop tard, ma mère ce tenait devant la porte. Elle était accompagner de ma petite amie, qui nous regardait d'un regard vide. Mon père et moi n'osais même plus bouger, ni même ce regarder. Une larme coulait sur ma joue, croyant que c'était la fin.
"Sauve toi avec ton frère, Donovan..."
Je regardais mon père, pour la première fois depuis que les infectées étaient là.
"Quoi ?"
J'étais en moment de panique, je n'avais presque pas compris ce que mon père avait dit. J'espérais que j'avais mal compris, je priais mentalement, d'avoir mal compris.
"Sauve toi avec Gabriel..."
Avant même que je puisse ouvrir la bouche pour lui répondre, il commençait à hurler. Je sursautais et regardais ma mère et ma petite amie les yeux ronds comme des billes. Ces dernières regardaient mon père, qui prenait un couteau et ce le plantait en pleins dans le coeur. Mon monde s'arrêtait à cette instant. J'etait figer, bloquer... Je ne pouvais plus contrôler mon corps. Tout ça était de ma faute... Ma mère et ma petite amie ne prenait pas de temps avant de sauter sur mon père. Elles le dévoraient comme si c'était de la viande. Mes larmes coulaient sur mes joues, ne pouvant pas faire autre chose. Sauf qu'après quelques secondes, je me reprenais. C'était rapide mais, il fallait que je sauve mon frère ! Je courait donc, jusqu'à lui et le prenait dans mes bras. Ce n'était quand sortant de la maison que je le déposais et lui ordonnait de courir. J'aurais voulu continuer à le tenir dans mes bras, mais je n'en avais pas la force. On courait alors, jusqu'à la voiture. J'ouvrais les portes, aillant déjà les clés sur moi, à cause de tout à l'heure. Quand j'etais aller me promener avec Cathy, on avait pris la voiture et j'avais garder les clés. J'embarquais en avant à toute vitesse et mon frère s'assoyait à côté de moi. Je démarrais la voiture et roulait comme un fou. La peur me contrôlait. Je ne savais point où j'allais et avait risquer souvent d'avoir un accident. Mais je finissais par essayer de me ressaisir, tout en gardant ma respiration saccadé à cause de tout ce qui venait de ce passer. Je finissais après un moment, à regarder mon frère.
"Gabriel, est-ce que...."
Mon coeur manquait un battement. Je continuait à regarder à côté de moi, en même temps que de rouler. Je ne pouvais pas croire ce que je voyais. J'étais sur qu'il avait embarqué... Le siège vide à côté de moi, me donnais la nausée. D'un coup, j'arrêtais la voiture en pesant sur le frein et retournais de bord pour aller voir mon frère. Je priais encore pour qu'il soit en vie. Même si je savais très bien qu'il n'avait sûrement pas survécu. Mon espoire me faisais vivre sauf, qu'elle était mensongère. Je roulais à plus de 150 kilomètres, il fallait que je le retrouve. Ce n'était quand arrivant à la maison que je constatais la vérité. Je sortais de mon véhicule et regardais le sang par terre. Le corps de mon petit frère n'était plus là. À ce moment, je laissais déverser toute les larmes que j'avais retenu. J'étais seul dans les environs, j'avais besoin de ce moment. Du moment où qu'on tombe en pleurant. J'avais perdu ma famille à cause des infectés et je ne pourrais plus jamais leurs pardonner. Après quelques minutes, j'entendais une branche qui ce craquait derrière moi. Sans attendre, je me retournais immédiatement. Je fixais cette choses qui était dans le passé derrière moi. Cette chose, était mon frère qui était devenu infecté. Je pouvais le voir à comment il me regardait. Ce regard de mort, que je n'oublierais jamais. Je le fixais encore, en pensant qu'il fallait que j'aille dans la voiture. Avec la voiture, je pourrais me protéger. J'appuyais donc sur le bouton pour débarrer les portes, et commençais à courir vers mon véhicule. Gabriel commençait à courir également vers moi, mais j'entrais avant qu'il ne me touche. Paniqué, je barrais immédiatement les portes et reprenais mon souffle. Pendant que mon petit frère n'arrêtait pas de cogner contre la fenêtre de la voiture. Tout ce que je me disais, était que je devais sauver ma vie. C'était tout ce que je pensais. Je démarrais donc la voiture sans réfléchir et roulais pour qu'il dégage de ma portière. Malheureusement, il y restait accrocher comme de la colle.
"DÉGAGE !"
Je hurlais de rage et pleurais en même temps. Je ne savais plus quoi faire... Je devais m'en débarrasser, avant qu'il ne casse la vitre. Je prenais donc un élan avec la voiture, et fonçais dans le premier arbre que je voyais. Le coup avait été tellement fort, que je me cognais la tête contre le volant. J'avais excessivement mal mais, je me forçais pour ne pas m'évanouir. Je gardais mes yeux ouvert, le plus possible. Sauf que tout ce que je vis avant de tomber, était mon frère bel et bien mort...
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Impulsion
Terror"À toutes les unités, nous avons un cas de force majeur ! Si vous êtes en état de quitter votre poste, rejoignez-vous à moi ! C'est une urgence !" "Qu'est-ce qu'il ce passe, capitaine ?! " "C'est une... C'est une invasion..."