One-Phase 2

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...
En réalité je le sais, mon plan est organisé jusque dans les moindres détails.
Je sais combien de jours je la garde, ce que je vais faire avec elle, tout !

Et la pauvre ne s'attend pas à ce que je lui réserve !

Je me leva pour allez choisir quelques vêtements et des accessoires.
Je regarde un peu tout ce que j'ai et je trouve enfin une tenue adéquate.

Jean slim avec un polo et une paire de boucle d'oreille.
Assez soft pour qu'elle puisse tout de même se remettre de ses émotions.

Je lui montre ce que j'ai choisi et elle s'empressa de répliquer. Encore des désaccords !
Jamais contente celle là !!
Elle commence à me gonfler.

Moi : qu'est-ce qui y a encore !?
Elle : je n'ai pas les oreilles persees...désolé ça sera un autre accessoire du coup, le dit-elle d'un air du genre « et oui c'est bête hein » elle fait la maline.
Moi : oh mais ne t'inquiète pas, ce n'est pas un problème ça..répondais-je content de moi.

Je m'éloignais d'elle quelques instants et je revins avec une aiguille.
Elle pris peur et essaya de reculer mais elle était attachée à la table alors je ne sais pas trop ce qu'elle essaya de faire, s'incorporer dans la table ?

Moi : ne t'inquiète pas, ça ne va pas te faire mal.
Elle : laisse moi !! Et surtout ne t'approches pas sinon je vais crier !
Moi : oh mais tu peux toujours crier ma jolie, personne ne t'entendra. Et puis je trouve ça excitant une femme qui crie.
Elle : mais t'es vraiment un malade !!
Moi : chut chut, ne gâche pas ce moment.
Elle : AU SECOURS AIDEZ MOIII !! JE SUIS LÀ !!? VOUS M'ENTENDEZ ?!
Moi : J'avoue que ce n'est pas ces cris là que je préfère..dis-je d'un air ironique.
Elle : tu es degueulasse.
Moi : eh oh, je ne te permets pas. Bon maintenant je bouche pas sinon tu auras encore plus mal

Je m'approchai d'elle et choisissa un juste milieu dans son lobe d'oreille droite puis je commença à enfoncer l'aiguille dans cette chair privée de cartilage.

Elle se mit à hurler d'une façon assez épouvantable.

Elle : AAAAHHHHHHHHHHHHH ?!! STOP TU ME FAIS MAL ! ARRÊTE JE T'EN PRIS !!
Moi : Clothilde Clothilde, voyons. Je n'ai pas encore finis arrête ou je serai forcé de te punir.
Elle : me punir ?? Mais je n'ai rien demandé moi ! Relâchez moi, je vous jure que je ne dirai rien à personne !!
Moi : Et bien ? Pourquoi me vouvoies-tu d'un seul coup ?
Elle : Vous êtes un gros psychopathe !!
Moi : tu sais je sais ce que tu essaie de faire. Tu me parle pour que j'oublie ce Ue j'étais en train de faire mais dommage, je ne suis pas naïf.
Elle : non non non ! Stp arrête ...
Moi : mais tu ne voudrais pas que je te laisse ainsi ! Avec une oreille à demi percée !! C'est une attaque à l'esthétique !
Elle : non c'est très bien, je m'en fiche !!
Moi : et bien pas moi.

Stop, finis le blabla. Je recommença à appuyer sur ce lobe d'oreille pour le percer.

Elle cria de nouveau et enfin, l'aiguille traversa la chair. Elle poussa un cri strident.

Moi : et bien voilà !! Je lui enfila la boucle d'oreille que j'avais choisi pour sa tenue d'aujourd'hui et la laissa tranquille, enfin pour cette oreille.

Je changea de côté et replanta l'aiguille salie du sang de mon invitée rebelle dans son oreille gauche.
Ce fut le même cirque, des cris à n'en plus finir. Tout ça pour une malheureuse paire de boucle d'oreilles !

Après avoir réussis à percer les deux, je lui enfila la deuxième boucle et admira le résultat.

Moi : bon tu vois ! Ce n'est pas mal du tout !!
Elle : non je ne vois pas, dit-elle en sanglotant encore choquée de ce qui venait de ce passer.
Moi : je vais te faire une piqûre d'anesthésiant pour que tu sois consciente mais incapable de bouger ni de ressentir quoi que ce soit pendant quelques heures. J'ai envie de jouer.
Elle : QUOI ? Non !!
Moi : ce n'était pas une question Clothilde.
Elle : moi non plus, c'est une interdiction.
Moi : ahaha c'est ce qu'on verra.
Je laissa mon amie attachée pour allez chercher une seringue et le médicament prévu pour anesthésier.
Je regarda l'espèce de recette que j'ai trouvé sur internet qui disait les doses pour telle ou telle durée en fonction de la taille, du poids et du sexe.

Moi : Quel est ton poids, ma jolie ?
Elle : 7383 kilos espèce de taré
Moi : très bien, je te préviens juste que si je met la mauvaise dose tu peux mourir, enfin ne jamais te réveiller.
Elle : je préfère ça que d'être avec toi !!
Moi : comme tu voudras.
Je mis le liquide dans la seringue et m'approche d'elle.

Moi : dis tes derniers mots.
Elle : va te faire f***** !
Moi : bien sûr ! Juste après t'avoir tuée.
Je planta l'aiguille dans la cuisse de ma victime et son instinct de survie se manifesta.
Elle : ATTEND !!! Stop ! Stop ! Je fais 57 kilos..
Moi : et bien ? Tu te réveilles enfin ? Je croyais que tu voulais mourir ??
Elle : arrête de blaguer et retire cette aiguille de ma cuisse !!! Je ne veux pas mourir !!
Moi : C'est trop tard.

L'offensé Offensant - [EN PAUSE]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant