One-Derniére phase

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...
Je laissa mon amie attachée pour allez chercher une seringue et le médicament prévu pour anesthésier.
Je regarda l'espèce de recette que j'ai trouvé sur internet qui disait les doses pour telle ou telle durée en fonction de la taille, du poids et du sexe.

Moi : Quel est ton poids, ma jolie ?
Elle : 7383 kilos espèce de taré
Moi : très bien, je te préviens juste que si je met la mauvaise dose tu peux mourir, enfin ne jamais te réveiller.
Elle : je préfère ça que d'être avec toi !!
Moi : comme tu voudras.
Je mis le liquide dans la seringue et m'approche d'elle.

Moi : dis tes derniers mots.
Elle : va te faire f***** !
Moi : bien sûr ! Juste après t'avoir tuée.
Je planta l'aiguille dans la cuisse de ma victime et son instinct de survie se manifesta.
Elle : ATTEND !!! Stop ! Stop ! Je fais 57 kilos..
Moi : et bien ? Tu te réveilles enfin ? Je croyais que tu voulais mourir ??
Elle : arrête de blaguer et retire cette aiguille de ma cuisse !!! Je ne veux pas mourir !!
Moi : C'est trop tard.
Elle : Hein ? Quoi ? Comment ça ? Tu n'as pas appuyé sur la seringue ! Le liquide n'est pas dans mon organisme tu peux changer !!
Moi : tu n'as pas compris. Je t'ai posé une question, tu as voulu faire la rebelle, la fille forte qui n'avait pas peur de moi. Tu as eu tort. Je vais appuyer sur cette seringue et tu crèveras.

Elle se mit à sangloter et ensuite à pleurer comme un bébé. Les larmes coulaient telle une fontaine et ça ne s'arrêtait plus.

Elle : Non non, ne fais pas ça, je t'en supplie Paul..!
Moi : je n'ai pas pitié de toi, tu vivras quelques heures et le liquides te tuera. Tu auras le temps de voir tout ce que je vais te faire.

Elle : je ne veux pas mourir Paul, me disait-elle en pleurant.
Moi : Tu as voulu faire la maligne, c'est entièrement de ta faute. Si tu veux tu peux même appuyer toi même sur la seringue.

Elle pleurait encore plus qu'avant mais étonnamment elle accepta.

Elle : très bien, si je dois mourir je veux pouvoir mettre fin à ma propre vie seule.
Moi : très bien, attend un peu.

Je m'en alla resserrer ses attaches au maximum.

Elle : mais..? Paul, comment vais-je faire pour appuyer sur cette seringue !
Moi : ta main peut tout de même bouger malgré les attaches, on ne va pas chipoter !! Déjà je te rend ce service, tu devrais me remercier.
Elle : très bien, donne là moi.

Je lui donna et la plaça face à son ventre, de façon à ce qu'elle puisse appuyer sur cette seringue et que le liquide s'immisce dans son corps.

Elle me regarda et puis prononça quelques mots.
Elle : Tu peux allez te faire voir !!!?

Et elle appuya sur la seringue pour la vider sur le sol.

Moi : aha aha, tu as raison tu ne vas pas mourir. Enfin pas tout de suite. Tu crèveras avec moi.

Elle ne savait pas qu'il ne me restait que quelques mois à vivre mais elle su qu'elle avait fait une grosse bêtise.
Une bêtise qui lui a sans doute sauvé la vie, certes mais elle le regrettera amèrement.

Je lui retira la seringue des mains et m'en alla.
Je lui mis un bout de drap déchiré dans la bouche et un sac sur la tête avant de claquer la porte, sans oublier de la fermer à clé.

Je la laissa la, seule.

...

Après quelques courses et une petite promenade ainsi qu'un petit café et un burger je rentra à la cabane.
J'ouvre les deux verrous de la portes en bois et la découvre toujours en train de se débattre.

Moi : Je suis laaaaa !

Elle m'ignora et continua d'essayer de se défaire de ces attaches, mais rien à faire.

Moi : j'ai ramené quelques petits trucs.

Elle arrêta de se débattre et m'ecouta, peut être pensait-elle a de la nourriture ? Elle n'en aura pas aujourd'hui car elle a été exécrable !

Elle : hmmm hmmm!!
Moi : ah oui c'est vrai que je t'avais bâillonnée !

Je retira le sac de sa tête et le drap de sa bouche.

Moi : tu veux savoir ce que j'ai acheté ?

Elle hocha la tête en guise d'un « oui »

Moi : j'ai fais des folies !! Figure toi qu'on quitte la ville ! J'ai trouvé une petite maison d'en campagne pour une bouchée de pain.

Elle : on s'en va ?

Moi : oui, on déménage !

Elle : d'accord

Il semblerait que mon hôte se soit calmée.
Tant mieux car ce soir elle n'en pourra plus.

Ce n'est que le début.

L'offensé Offensant - [EN PAUSE]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant