Tom Walker : GEO Phantom

Prologue

Paris, 17 septembre 2020

Braquage de la banque nationale depuis 1h45

Banque nationale : 11h40

-Commandant ? On a un problème, les braqueurs disent retenir 8 otages, ils demandent un hélicoptère et l'immunité sinon ils les tueront tous !

-Mmm, où sont les forces d'interventions ?

- Ils viennent d'arriver !

-Très bien, dis le commandant Albert chargé de la section de police de Paris.

Il marcha d'un bon pas vers le fourgon blindé du RAID, du haut de son mètre 80, il paraissait minuscule face au leader du RAID qui le dépassait de 25 centimètre.

- Quelle est le topo ? demanda le colosse, sans même un bonjour

- 6 hommes armé de M4 et de 9 mm se sont introduit dans la banque depuis maintenant près de 2 heures. Ils veulent un hélicoptère et l'immunité totale en sortant. Récita Albert

- Hahah, le colosse se lança dans un fou rire avant de reprendre son sérieux, ils plaisant ? Ils ne pensent quand même pas qu'ils vont s'en sortir aussi facilement, on s'équipe les gars, crie t-il à l'intention de son équipe

-Faites attention, précisas Albert, ils ont des otages

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- Golden Leader pour Golden 1, à vous

- Golden 1 j'écoute

- On a un points d'accès par le toit, demande pour rentrer à vous

- Allez si, faites gaffes aux otages, terminé

-Vos hommes vont rentrer comme ça va ? , demanda Albert au leader du RAID

- Mes hommes sont sûr entraîner, ils ont l'habitude, et au fait je ne me suis pas présenter, Paul de la section d'intervention rapide, dit-il en serrant la main du policer

- Albert, enchanté,

Après avoir échanger quelques paroles sur leurs parcours professionnels, le talkie-walkie de Paul émit un son

-Golden 1 à Golden Leader,

Prenant le talki sur sa ceinture, le colosse répondit :

- Golden Leader j'écoute ?

- On est à 5 portes de l'objectif, demande d'extraction rapide demandé, à vous

- Demande refusé Golden 1, on reste en stand bye, resté planquer et attendez les nouvelles instructions, on doit être sûr que toutes les victimes sont saine et sauf et que le site n'est pas piège, terminé

-Merde, murmura Tom, un des membres de l'équipe d'intervention

- C'est bon, calme toi, on attend le feu vert et on rentre, on reprend les otages et on repart comme si de rien n'était, ça va ? va être du gâteau.

- Tu as l'air sûr de toi, enchaîna Edouard, le leader du petit groupe d'hommes, si j'étais toi, je me concentrai sur la mission car je te rappelle qu'ils sont des fusils d'assauts et sont prêts à tuer pour leurs vie

- Chut, Tom avait l'oreille tendu vers la pièce où les otages étaient censé être retenu

- T'entend quoi ? demanda Edouard

- Je n'arrive pas à bien entendre, je vais me rapprocher

- Hors de question, le chef n'a pas donné son feu vert !

Edouard essaya d'attraper le bras de Tom mais c'était trop tard, il était déjà partis vers la porte.

-Merde, viens, dit-il à l'intention du dernier de la bande qui s'imaginait surement déjà dans un bar avec une bonne bière à la main. Malgré les apparences, ils s'étaient tous apte à se battre avec leurs passé militaire assez chargé.

Tom entrouvrit la porte pour tenter d'apercevoir ce que les ravisseurs fessaient, mais la porte grinça à telle points que les deux braqueurs s'étaient retourné et virent Tom. Malgré leurs entrainement quotient et poussé, Tom venait de faire certainement l'erreur la plus grave de sa carrière, ne pas obéir à un ordre, se faire repérer et donc par la même occasion, mettre la vie de ses collègues en danger

Il tapa du pied dans la porte se qui fit sursauter les otages et lâcha une rafales sur un des hommes en face de lui avant de partir se remettre à l'abri derrière la porte

-Mais tu fous quoi ? tu veux nous faire TUER OU QUOI, s'épouvanta Edouard

Les cris et tir de balles avaient fait assez de bruits pour que les hommes posté en surveillance en bas couraient venir voir ce qui se passa. Un des hommes venait à peine d'atteindre le palier qu'une salve de balles le toucha au niveau de la cage thoracique, l'homme tomba net.

Le deuxième qui avait bien compris qu'ils subissaient une attaque tenta des petites rafales tous en restant caché derrière le muret de l'escalier.

-Va y, occupe toi des otages nous on s'occupe des retardataire, cria Edouard

Ni une ni deux, Tom jeta une de ses grenades flash dans l'encadré de la porte, conta 3 secondes et quand le BOUM de la grenade se fit entendre, il rentra.

Il visa un des voleurs sans grandes difficultés vu qu'il était debout, aveuglé par la grenade , il en avait laisser tomber son arme. Une rafale plus tard, l'homme s'effondra par terre. Tous ce passait bien pour le moment, mais au malheur de Tom il sentit le canon d'un pistolet à l'arrière de son crâne ! L'adrénaline et le stress lui avait fait faire beaucoup de bêtises ... La porte qui émit du bruit, le non respect des ordres et là il n'avait même pas prit la peine de sécuriser la pièce avant de rentrer tête baisser dedans ...

- Lâche ton arme, cria le braqueur, exécution !

Tom ne pouvait pas compter sur l'aide des deux autres militaires vu qu'ils s'occupaient des autres braqueurs.

-OK, OK, répondit Tom sur un ton très calme

Son fusil d'assaut tomba par terre et le voleurs s'abaissa pour la récupérer. Erreur fatale, Tom envoya son genou directement dans la tête de son agresseur, celui-ci recula en se tenant le nez qui saignait abondamment. Il ne visa même pas et lâcha une rafale de balles qui percutèrent le gros pilier en marbre de la banque. Tom dégaina son 9 mm qui était dissimulé près de sa botte, il pointa l'homme qui avait eu le temps de prendre un otage, il le tenait canon sur la tempe.

-Lâche ton arme et tourne toi, cria l'homme, sinon je la bute

Tom s'attendait à voir Edouard débouler et neutraliser l'individu mais rien ne se passa pendant 5 secondes, 5 secondes qui semblait être des heures

-Deuxième avertissements, lâche ton arme, menaça une seconde fois l'homme, qui pointait désormais son canon sur Tom

Il avait plusieurs possibilité :

*Il pouvait faire se que l'homme demandait et essayer de le désarmer une fois le bon moment

*Il peut prier pour que ses collègues viennent l'aider

* Ou la dernière et pas des moindre, faire feu ...

Tom opta pour la troisième solution, la plus risqué mais certainement la plus sûr en termes de neutralisation

Tom mit à genou à terre, visa sa cible et tira

La balle traversa l'otage qui avait été déplacer comme bouclier humain pour l'agresseur, la balle perfora l'abdomen de l'otage, traversa le poumon gauche du braqueur et finit sa course dans mur derrière eux.

Les deux corps tomba en même temps, raide mort ...

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Voila pour le premier chapitre du livre, j'espère qu'il vous a plu :)

N'hésitez pas à me donner votre avis ;)

On se retrouve pour le prochain chapitre :)