Chapitre 8

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PDV Extérieur

Voilà plusieurs mois que Valentin n'a aucune nouvelle de Clément. Celui ci n'a pas arrêté les vidéos, mais le rythme de sortie de celles ci a diminué.
Parfois, les deux youtubeurs se croisent à la RedBox mais ils ne se parlent, ne se regardent pas. Ils s'évitent.

PDV Valentin :

J'en peux plus. De tout, de cette situation. J'aimais ma vie avant tout cela. Ma longue amitié avec Clément, ma brève relation amoureuse avec lui. Ça me manque. Il me manque. J'aimais mon sourire naturel, qui, maintenant, est remplacé par un faux sourire, un sourire sans aucune émotion. Je ne vis plus pour moi mais je vis pour les autres. Comment une simple phrase, une seule action ont pu tout changer ? Je peux plus, j'en peux plus. Désolé... C'est plus fort que moi. J'en ai marre de cacher ma tristesse, mon désespoir...
Je pris ma caméra et  l' alluma. Je pris une grande inspiration et lança la vidéo :
" Salut à tous et à toutes, je suis désolé d'avance de vous infliger cela... Mais voilà, j'en peux plus de me cacher. Oui c'est vrai je sortais avec Clément de la chaîne Farod. J'étais et je suis  toujours amoureux de lui. Clément si tu regardes cette vidéo, oui je t'annonce devant tout le monde : Oui j'ai foiré, mais farod saches que je t'aime et que je suis profondément désolé. Désolé d'avoir ruiné ta vie, désolé de t'aimer.
Les larmes commença à couler.
Voilà tout le monde, Vous pouvez me critiquer de tapette, les rageux faites vous plaisir. Je suis qu'un bon à rien. Je suis désolé. Merci pour tout ce que vous m'avez apporté. Merci, je vous aimes.
Je coupa la caméra. Les larmes n'arrêtaient pas de couler. J'envoyais la vidéo sur mon ordi et la posta directement sur youtube. J'envoya le lien à Farod sur Insta.
Quelques minutes plus tard, les notifications se multiplièrent, les abonnés s'inquiétaient. J'éteins mon tel. Je pris mes clefs de voiture et m'en alla de la maison.
Je pris la route, j'accélérais, j'accélérais de plus en plus. Je roulais aussi vite que mes larmes coulaient. La tristesse, la colère m'envahissait. Le paysage défilait sur les côtes à toute allure. 90, 100,130,170 km/h. De la vitesse, des arbres, des pleurs. Vous connaissez la suite...

NDA : Un chapitre un peu court, certes mais je laisse le suspens de la suite . On est septième de l'hashtag Tartinex !!!! Merciii Bref je vous dis à bientôt et à au prochain chapitre ❤️❤️
414 mots :)

Toi et moi ? / FARINEXOù les histoires vivent. Découvrez maintenant