Le tombeau d'Amasis

Attentat

Mon réveil sonne et je me réveille brusquement. Il affiche « 7h ». Je me lève doucement de mon lit, choisi une tenue et descend. Ma mère est déjà là :

- Bien dormi ma chérie ?
- Oui

Je m'assois sur ma chaise et tartine le pain que ma mère avait préalablement toasté. Je prend mon tel et je vois que McKenzie m'a envoyé un message « Caitlyn !! Y a eu un attentat près de chez toi !! » je cri alors :

- MAMAN ALLUME LA TÉLÉ
- Cri pas ma chérie, que se passe t il ?
- Allume la télé !

Elle s'exécute rapidement :

- Attentat cette nuit en plein centre de Londres...

Le présentateur n'a pas eu le temps de continuer sa phrase que ma mère éteint la télé, je tourne alors la tête vers elle, elle pleurait, elle me dit en dit en sanglotant :

- Ton père...il a été appelé cette nuit justement...

Je me suis senti devenir blanche comme un linge. J'attrape mon manteau et ouvre rapidement la porte, ma mère me suit.

~ 10 minutes plus tard ~

On y est...devant Big Ben. Il y a des centaines de policier, je tente d'appeler mon père mais personne ne répond, seulement quelques passants m'observe bizarrement. Je regarde ma mère et je dis :

- Maman on doit demandé à un policier le nom des morts et des blessés !
- Tu as raison...

Elle s'avance doucement vers un homme très grand et tapote sur son épaule :

- Excusez moi monsieur...
- Madame je ne suis pas autorisé à vous parler.
- Non attendez...est ce qu'un policier a été tué..?
- Oui. Le policier Jason Anderson.
- Oh mon dieu...mon mari !!!

J'ai assisté à toute la scène, ma mère vient de s'effondrer sur le sol. Je reste bouche bée ne sachant pas quoi faire. Je m'avança vers ma mère quand un coup de feu retentit. J'entends des cris et je m'approche de ma mère qui me cri de me baisser mais je ne sais pas pourquoi je le fais pas. Je regarde ma mère dans les yeux quand d'un coup, une balle lui traversa le crâne. Je me stoppe net et j'observe ma mère qui s'écroule. Son visage reste figé, les yeux ouvert, rempli de larmes et la bouche ouverte. Je me précipite sur le corps sanglant de ma mère et je l'a prend dans mes bras en pleurant à chaude larmes. Un policier m'attrape le bras en me disant de pas rester là. Je me débat en vain.