J'éclos pour faner

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Tu ne le sauras probablement jamais,
Je ne te le dirais probablement jamais.
Mais mon cœur meurtri,
Par tout ce qui a était dit et non dit,
Pour toutes les promesses non tenues,
L'heure est probablement venue,
Pour nous et pour toujours,
D'écrire mes pensées de chaque jour.


Tant de choses et rien ne me vient à l'esprit,
Je t'aurais offert mon cœur et même ma vie,
Mais il faut croire que malheureusement,
A tes yeux, je ne devais être qu'un pansement.
À cette innocence et à cette vision,
À ces sentiments qui ne sont qu'une prison,
À toi qui me fait souffrir,
Mes larmes soupirent,
Tandis que je coule,
Toi, tu roules.


Tu es entré de tout confort,
Pour au final t'en aller et me laisser à mon sort.
Mon doux ange, tu es parfois si cruel,
Et me dit que la vie est belle,
Alors qu'à mes yeux,
La mort est mon seul vœu.  

Recueil de poèmeWhere stories live. Discover now