Chansons du chapitre : Your song, Figure 8, Explosions, Halcyon et Dead in watter de Ellie gouldind.
PDV Nina
Je les regarda avec haine et partit dans les escaliers en espérant en louper un tous les dévalés et mourir. Juste mourir. Ils se foutaient tous de ma gueule mais pourquoi ? Une seule personne pourrait comprendre.
J'atteris dans la cours intérieur du lycée et partit m'asseoir dans les gradins en béton.
Je composa sur mon petit clavier le seul numéro que je connaissais par coeur et colla le téléphone a mon oreille :
- décroche, décroche, décroche putain...
Si elle decrochait je serai sure qu'ils avaient tous tort.
- Maman putain !!
Sans le vouloir les larmes commencèrent à me monter aux yeux et je me dis que de toute facon elle est à l'école, elle ne pourrait pas repondre mais tout au fond de moi je savait que je me mentait à moi même.
Je composai donc le seul autre numéro que je connaissai.
- Putain esth...
- Allo !
- Esther ?
- Qui d'autre ?
- Esther je suis complètement perdue...
Elle a du entendre la peur et les sanglots dans ma voix car son ton changea directement pour devenir inquiet.
- Qu'est ce qui t'arrive ?
- Réponds moi franchement, même si sa fais mal d'entendre la vérité !
- Bien sur.
- Est-ce que ma mère est morte ?
- ...
- Esther ?
- ...
- Esther !
- Je suis désolé nini...
- Sa veut dire oui ?
Elle prit une grande inspiration et me dis :
- Oui.
Je raccrocha avant de fondre en larmes. Non. Les larmes se sera plus tard, la je dois retourner en cours auprès de toute cette bande de menteurs.
Quand j'arriva au cours suivant qui était de l'histoire je vis Robb qui m'attendait devant la porte alors que toute ma classe était déjà rentrer.
Il allait ouvrir la bouche mais je l'en empecha.
- Je me fous de ce que tu va dire.
- Nina je suis désolé... Silteplait pardonne moi...
- Trop tard.
- Je t'aime bébé !
Mon coeur fit des bonds en entendant les mots que je rêvais qu'il prononce envers moi.
- Ne m'appelle plus jamais bébé.
Je toqua a la porte et rentra. La prof me regarda avec un air de pitié. Je mettrai ma main a coupe qu'elle est au courant pour ma mère, d'ailleurs tous me regardait avec cet air de profonde pitié.
Pitié pitié pitié pitié. Ce mot resonnait en boucle dans ma tête.
Pitié de mes amis.
Pitié de mes "camarades"
