Je pense que tu connais le concepte, un personnage x un lecteur sur ce chef d'œuvre qu'est The Promised Neverland !
⚠Je suis personnellement à jour sur les scans, donc je vous prierai de faire attention à ne pas vous spoil par m'égarde⚠
Je ne prend...
Faite attention au spoil, la chronologie ne dépasse pas l'arc 1.
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Les échecs, un jeu alliant intelligence avec précision et anticipation. Il est à l'heure d'aujourd'hui l'un de mes passes temps préférés. Des heures et des heures de jeu contre Mama mon permis d'exceller dans ce jeu à tel point que je suis la seul à avoir réussi à la battre. On me surnommait la reine des échecs et je n'avais que 10 ans !
J'avais ma propre petite réputation, au même titre que Emma et ses capacités physique et Norman de ses capacités mental. Pourtant plusieurs fois il met arrivée de me trouver en difficulté face à quelqu'un Ray. Lorsque je bougeais un pion il me contrait tout en avançant lui même avec sa tactique. Son esprit est mur infranchissables, et prédire ses actions est casiment impossible, du moin c'est ce que je pensais. Je dus lors de cette parti me servir de la même tactique utilisée contre Mama pour le battre.
J'entendis la cloche retentir, j'en deduisais donc que tout le monde allait rentrer et que la maison serai en un rien de temps remplit d'un brouhaha incessants. Je pris mon livre et me dirigea vers la bibliothèque, le seul endroit ou les enfants ne crient pas. Sur le chemin je vis Emma suivie de Norman, lorqu'elle me remarqua, elle cria mon nom qui résonna dans le couloir. «T/PPPP, toi qui est toujours avec Ray tu sais ou il est !? -Premièrement, je suis pas toujours avec lui. Deuxièmement si il n'est pas dehors à lire il est forcément à la bibliothèque. -Ooook !! Merci (t/p), et elle était réparti.» Norman me souris pour me dire désolé de son comportement et continua sa course pour la rattraper. Je soupire et continue mon chemin.
Lorsque j'arriva à la bibliothèque, Emma et Norman parlaient à Ray, j'ignora la situation et m'installa dans mon pouf habituel non sans avoir pris au hasard un livre auparavant.
Après quelque minute Ray vint s'installer dans le pouf contiguë au miens.
«Alors ? Demandais-je par simple curiosité. -Trop long à expliquer. Lança t'il calmement tout en tournant sa page. -Sérieusement !? Je m'étale sur le pouff et tend mes bras pour l'empêcher de lire. -Tu es une enfant (t/p). Il pousse mon bras pour continuer ma lecture. -Oui et j'en suis fière. Je me retourne et pose ma tête sur ses cuisses. -Je ne te dérange pas, tes bien à ton aise ? Dit il sarcastiquement. -Pas le moins du monde, je pourrais faire une sieste la maintenant tout de suite.
Il soupira et ferma son livre, avant de commencer à caresser mes cheveux.
-R-ray ? -Chut tait toi et dors. -Eh ? Mais je rigolais. -Mhh. Fut sa réponse.
Un silence s'installa dans la bibliothèque, aucun de nous deux ne bougeais, ni parlais, on se contentait juste de se regarder. Puis il soupira.
-Es tu au courant de ce qu'il se passe ici ? Me demanda t'il attristé ? -Que nous sommes destiner à mourrir mangé ? Oui malheureusement. -Comment se fait il que tu sois au courant ? -A force d'observer et quand j'ai suivis mama qui emmenait Pira quand j'avais 6ans. -Je vois. -Et toi ? Je suppose que ce n'est pas une nouvelle non plus. -Je suis au courant de sa depuis ma naissance. Je me redresse violemment. -Comment ça ? -Je sais que je peux te faire confiance et que tu ne diras rien, après tout tu es comme moi.
Je suis comme lui ? Mais oui ! Tout s'explique, la difficulté lors de nos parti d'échec c'est parce que nous pensons pareil, la ou j'essaye de ne pas laisser de faille il arrive à en créé une et vice versa.
-Je n'ai pas subis l'amnésie enfantine. Je n'interrompit pas son récit, et l'écouta le plus attentivement possible. -Je me rappelle, de ma naissance, des démons, des fermes, de tout. -Donc tu as vu tout le monde partir et tu as dus faire comme si de rien n'était... -Oui.
Les larmes me montèrent au yeux. Il avait du voir tout le monde partir les uns après les autres sans devoir rien dire.
-Ne pleure pas voyons. Il passa sa main sur mon visage et essuya les larmes. Je sais à quoi tu penses (t/p) mais ne t'en fais pas tout va bien. Il me sourit, mais pas un sourire sarcastique, pour une fois un vrai sourire.
Je me calma et me releva afin de passer mes bras autour de son cou et de poser ma cette contre celui ci.
-Promet moi juste qu'on ne mourra pas sans avoir rien fait. -Je te le promet.
Nous restèrent encore ainsi de longue minutes, tellement magique puis ce qu'elle furent avec l'être que l'on chérissait de tout notre coeur.
