chapitre 2

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Je pris mon manteau pour sortir chez Violette. Elle fesait une soirée pyjama avec Sophie, Charlotte et Moi. Nous nous étions installer conne d'habitude dans notre appartement, j'étais aller voir mes parents juste avant et nous avions commencer la soirée. Et quelques minutes plus tard Violette nous avaient proposé de faire un vérité/conséquence.Après quelques parties de son "jeu le plus cool" Sophie nous parla d'une rumeur sur une "vampire".

- Les filles, vous savez que depuis quelques jours des jeunes filles ont disparu et on réparu quand on pensait qu'elles étaient morte elles sont apparus... Toutes ces filles disent qu'elle ne se rappelle de rien ou presque, elles se rappellent d'une fille ayant des cheveux passant du blond au blanc et qu'elle avait un caractère fort très fort. Des personnes disent même qu'elle avait des "cros" comme les vampires. Et quelques-un disent qu'elles entendaient toujours quelqu'uns crier d'où qu'on soit...

Pdv Cameron

La soirée était froide moi qui n'aimais pas ça j'étais servie... Le pire c'est que mon majordome Albert m'avait avertie et je ne l'ai pas écouter comme toujours. Je me présente Cameron individu du sexe feminin ,ah oui une fille, au cheveux blond/brun et au soleil des reflets blanc avec des magnifique petits yeux vert forêt. J'ai 25 ans et j'ai un manoir, je sort peu souvent et quand je le fais c'est juste pendant la nuit pour boire deux ou trois bierres et retourner au manoir à pied. Albert n'aime pas que je bois, c'est pourquoi il reste au manoir pendant que je vais me bourer la gueule et que je reviens dégeulasse envaie par mes vieux démons.

- Madame vous partez? me demanda Albert.

- Oui, je reviens très tard, aller dormir ne vous inquiétez de rien, lui répondais-je.

- Madame, vous savez bien que c'est impossible de ne pas m'inquiéter.

- Oui, je sais Albert, dis-je en souriant, c'est pourquoi vous êtes rester aussi longtemps que ça.

- Vous me flatter...

- Bye Albwert

- Arrêter de m'appeler ansi Madame.

- Et vous arrêtez donc de m'appeler madame, Albwert.

Mon majordome soupira et je décida de filé en douce pendant qu'il énumérait ses devoirs de majordome et donc d'obligation qu'il avait de m'appeller ainsi...

Tout nous sépares sauf nousOù les histoires vivent. Découvrez maintenant