Chapitre 1

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Nous sommes en 1876 et la famille Andrew était l'une des famille les plus riche et les plus importante d'Angleterre, cette famille avait fondée leurs fortunes sur le transport de marchandise d'Indes jusqu'en Angleterre, c'était aussi une famille de comte qui gagnèrent ce titre six siècle plus tôt. Quant à moi je ne suis que la benjamine des trois filles de la famille Andrew et je m'appelle Alice, mon père est le comte Andrew, il est la fierté de l'empire Britannique, mais pour moi ce n'était qu'un homme qui ne faisait que travaillé, ce qui l'empêchait de s'occuper de moi et de mes soeurs, pour lui la famille passe après le travail. Quant à ma mère elle n'est guère meilleurs, lorsque j'eus deux ans, elle nous laissa avec notre père pour partir en Indes dans notre résidence secondaire elle ne revenait que très rarement, c'est à dire quasiment jamais, ensuite il y a ma soeur aînée, qui s'appelle Jeanne et elle est la fiertés de nos parents, elle connais toute les bonnes manières et à reçue plusieurs demandes de mariages, il faut dire que Jeanne était d'une grande beauté, et un jour elle accepta l'une des demandes, celle d'un grand duc vivant dans la campagnes anglaise, quant à ma soeur cadettes, elle s'appelle Margot, elle est l'opposée complètes de Jeanne, elle déteste les bonnes manières, mais est très douées en tant que cavalières équestre, au début elle désespérait nos parents qui ne penserait pas qu'un jours il soit possible qu'elle trouve un maris mais depuis peu elle à reçue trois demande qu'elle à du refuser car ses demandes ne venait que de jeunes homme sans terre ni titre, quant à moi je n'ai aucune grandes valeurs aux yeux de mes parents, à part celle d'êtres douée en chant et en musique comme presque toute les femme de noblesse, mais cela n'attire aucun homme de hautes bourgeoisie, ce qui m'arrange plutôt bien, il faut dire que je n'ai jamais aimée les règles de bonnes manière, c'est simple je les hais. Les gens de bonnes famille comme moi ne font que rester droit comme des piquets, ou bien sourire comme des idiots et s'habiller de la façon la plus chic possible pour montrer leurs importances auprès des autres. Avant j'étais comme eux, mais j'ai découvert la vérité grâce à Mme. Banx, une ancienne femme de chambre qui s'occupait de moi lorsque j'étais une enfant, je me souviens de ce jours comme si s'était hier, j'avais sept ans lorsque Mme Banx, s'occupait de moi, je me souvient exactement à quoi elle ressemblait.
Elle était Irlandaise et avait cette superbe couleurs de cheveux roux bouclées, sa peau était blanche comme de la neiges et elle avait des tâche de rousseurs sur le coin des joues, je me souviens aussi de son odeurs, celle de la lavandes. Ce jours là j'étais entrain de m'habiller, il devait êtres huit heures ou plus, et elle m'habillait comme à son habitudes

- Que vous êtes belle dans cette nouvelle robes mademoiselle Alice

- Oui c'est père qui me l'a offerte hier

- Je me souviens de lorsque j'étais petite, j'avais vue une autres enfants porter la même robe

- Ah bon ? Et toi tu n'en portait pas

- Non bien sur que non, ma famille n'en avait pas les moyens, pour l'avoir il aurait fallut le salaire d'un ans de mon père. Il faut que tu saches que je n'avait pas la chance d'avoir grandis dans une famille de hautes société comme vous mademoiselle

- Ah oui ?

- Oui mais cela m'a appris beaucoup de choses sur le monde

- Comme quoi ?

Depuis ce jours elle me donna de nouvelle explications sur le mondes, et ses inégalité social, grâce à elle, je vois plus clair dans les geste et les manières des hommes sur leurs envie de richesse et de pouvoir telle des loups sanguinaire se cachant parmi les agneaux avant de frapper, grâce à elle je vois la méprise de la haute société envers les petite gens, envers les ouvriers et leurs dure labeur. Un jours elle me montra les travailleurs dans une usines, ce jours là j'avais 11 ans et je compris que tout le luxe que j'avais ne servait à rien, qu'il aurait été mieux de le donner aux ouvriers de cette usine, cela aurais pu les nourrir convenablement pendant un ans tout aux plus. Je regrettait d'avoir acheter autant de robe et de perles pour êtres seulement belle, je me sentais honteuses de cette actes de narcissismes et d'égoïsme, depuis ce jours jessayais de rester simples mais mes parents ne voulait qu'une chose que je trouve un époux, et pour ce faire il fallait que je m'habille de la façon la plus chic possible, je ne pouvais malheureusement pas rester naturel, mais un jours j'entrepris de donner trois robes et un colliers de perles aux ouvriers de l'usine, je ne pouvais malheureusement en prendre davantage de peur de me faire surprendre par mes parents, je fus aidée de Mme Banx qui m'accompagna lors de la vente et de la distributions des fonds collectée auprès des ouvriers, mes parents n'ont jamais vus la supercherie, mais un jour Mme Banx du partir pour travailler auprès de ma sur aînée lorsqu'elle est partie vivre auprès de son époux, j'en était très affectée, mais mes parents voulait que quelqu'un surveille Jeanne. Après ça je devait rester là en devenant la gentille petite fille que mes parents souhaitait.

La Liberté D'une Femme Où les histoires vivent. Découvrez maintenant