La Liberté D'une Femme

Chapitre 3

Après cette soirée deux mois passèrent sans aucune nouvel d'Arthur, mes journées restèrent monotone et sans grand intérêt, je ne savais pas si ce que j'avais fait lors de cette soirée était bien ou non, je me demandais si j'éprouvais moi aussi des sentiments pour lui, puis je décida d'aller le voir chez lui et de discuter de ce qui c'était passer lors de cette soirée. Il était quatre heure de l'après-midi et j'avais pris un fiacre car mon père était partis pour parler affaire avec un baron le matin même et dû prendre le cocher avec lui, puis lorsqu'on arriva devant les grandes grille en fer de la famille Jones, deux hommes nous ouvrirent et nous laissèrent passer, c'était comme la dernières fois que j'étais venue, mais avec moins de calèche, lorsqu'on s'arrêta devants la porte du manoir des Jones, quelqu'un vint m'ouvrir, un domestique

- C'est pour quoi ? demanda t'il d'un air hautain

- Excuser moi mais es-que monsieur Arthur Jones est ici ?

- Ah qui ai 'je l'honneur mademoiselle

- Alice de la famille Andrew

- Ah je vois, eh bien oui, monsieur Arthur est ici, il est avec sa fiancée dans le boudoir, voulez-vous aller lui parler ?

- Sa... fiancée ?

- Oh monsieur Jones ne vous as rien dit ? Eh bien oui, il s'est récemment fiancé avec une comtesse du nom d'Éléonore il me semble

Je fus bouleversée par cette nouvelle et commençait à reculer en tremblant légèrement comme si j'avait froid

- Mademoiselle, vous ne vous sentez pas bien ? demanda 'il inquiet

- Si, si mais je dois impérativement y aller, j'ai j'ai quelque chose à faire de très important

- Bien, je vais donc vous laisser renter chez vous, je vous souhaite une bonne journée

Et il referma la porte derrière lui je repartie vers le fiacre et entra le plus vite possible, je mis mon visage entre mes mains

- Mademoiselle, vous vous sentez bien ? Voulez-vous voir un médecin

Jessuyai mon visage avec mes manche et adressa au cocher un sourire rassurent

- Non ça va merci, je veux juste rentrer chez moi

- Bien

Il n'insista pas, le fiacre repartie puis vers quelque mètre on pouvais entendre mon nom être hurlée

- ALICE !!!

- Vous voulez que je m'arrête mademoiselle ? Me demanda le cocher

- Non n'y faite pas attention mais pourriez-vous aller plus vite s'il vous plaît ?

- Tout de suite mademoiselle

Je ne savais pas pourquoi j'étais dans cette état mais je voulais que ça s'arrête, les larmes commencèrent à arrêter de couler sur mes joues et jessayais d'arrêter d'y penser, et lorsque le fiacre sarrêtât devant chez moi, je vis que la calèche de mon père était devant celle-ci, ce qui voulait dire qu'il était à la maison, je n'était pas plus joyeuses de cette nouvelle, lorsque j'entrais dans la maison je vis ma soeur dans les escaliers avec un regard triste, je voulait aller la voir mais une domestique m'en empêcha

- Je vous pris de m'excuser pour cette intervention mademoiselle mais votre père vous demande dans son bureau

Je suivais la domestique un peu surprise, car père nous interdisait d'aller dans son bureau, les seul personne autorisée à y aller était mère, quelque domestique pour nettoyer le bureau et quelque amis à lui. Lorsqu'on entra à l'intérieur du bureau je pouvais sentir l'odeur du tabac et des vieux livre, il y avait une cheminée en pierre avec une statuette représentant un renard et juste au dessus se trouvait une peinture représentant une chasse à cor, c'est à dire une chasse ou l'on trouvait des homme à cheval, accompagnée de chien de chasse et tenant un instrument du nom de cor, doù le nom, pour prévenir lorsque l'on trouvait l'animal à tuer, dans la plupart du temps c'était un renard. Il y avait aussi une bibliothèque comportant plusieurs livre sur la navigation, l'importation et l'inde, mon père se trouvait devant son bureau entrain de lire et de signer des documents, et ne m'avait pas remarquer, jusqu'à ce que la domestique se racle la gorge pour prévenir que nous étions présent, il leva les yeux vers nous