TRANSFORMERS 4 : A l'aube du changement [FIN ALTERNATIVE]

FIN ALTERNATIVE

Et si ... Les Autobots n'arrivaient pas à temps pour sauver Optimus Prime et Rixia des griffes de Lockdown ? Qu'arriverait-il, dans cette perspective ? L'histoire serait différente à bien des égards et surtout bien moins heureuse que dans le film/fanfiction.

Il s'agit avant tout d'une fin alternative de mon histoire Transformers 4 : A l'aube du changement.

//ATTENTION\\ : Ames sensibles, s'abstenir ! Cette histoire parle de maltraitance, de violence morale et physique donc si vous n'aimez pas, ne lisez pas. Classée T+ voir M suivant les degrés de tolérance alors à ne pas prendre à la légère, merci.

Je suis navrée pour les fautes mais sur ce coup-là, je n'aurais pas de bêta alors un peu d'indulgence s'il vous plaît ^^

Malgré tout, pour les plus courageux, je vous souhaite une bonne lecture !

TRANSFORMERS 4 : A l'aube du changement

FIN ALTERNATIVE

Il faisait sombre, froid et humide. Dans ce petit espace restreint qui était le sien, il avait à peine de quoi étendre ses jambes endolories. Les heures et les jours passaient lentement sans qu'il ne voit la lumière accueillante du jour.

Des heures, des jours et des semaines interminables dans une douleur constante ...

Son bourreau ne tardera pas à lui rendre une petite visite, il le faisait régulièrement ces temps-ci. Pour quelle raison ? Il l'ignorait. Il recevait de temps en temps de la nourriture quand il faisait correctement le travail demandé ou alors quand il ne faisait pas de bruit, mais c'était de plus en plus rare et son réservoir criait toujours plus famine.

Dans cet endroit lugubre, il faisait terriblement sombre. La peur et la solitude étaient devenues de vieilles amies depuis le temps. Le vacarme faisait également parti de son quotidien et le repos n'avait jamais été très prisé, ce qui amenait à de très mauvaises recharges pour un petit corps comme le sien qui demandait de l'énergie. En ajoutant à cela le manque de nutrition et les blessures qu'il endurait régulièrement aux mains de celui qui le détenait dans cette prison.

Il faisait si froid ... Il n'avait absolument aucun apport de chaleur. Son corps meurtri grelotait constamment et son étincelle de vie lui faisait souffrir le martyr. Pas de lien, pas de chaleur ni de réconfort, il n'en avait jamais eu aussi loin qu'il s'en souvenait. Depuis combien de temps existait-il ? Qui étaient ses créateurs ? Des questions qui demeuraient toujours et encore sans réponses et qui resteront à jamais dans le silence.

«Scraplet !» Rugit soudainement une voix profonde et mécontente.

A son nom, il laissa sortir un petit gémissement de peur puis se recroquevilla le plus loin possible dans la boite qui lui servait de lieu de repos. Ses optiques bleues suffisaient à peine pour éclairer ses genoux tenus fermement contre sa petite poitrine cabossée. Son Spark se mit à pulser follement lorsqu'il entendit la résonnance des pas de son Maître dans le vaisseau qui venaient dans sa direction.

Il ne pouvait pas sortir, la porte ne s'ouvrait que dans un seul sens. Mais il savait qu'il allait se prendre une raclée pour ne pas s'être présenté à son premier appel. Et plus il se rapprochait, plus son Spark s'affolait dans une douloureuse appréhension. Ses optiques devinrent humides mais il n'avait pas le droit aux larmes il n'avait jamais eu droit de pleurer dans aucune circonstance. Que ce soit pour la faim, la peur ou même la douleur.

La porte s'ouvrit avec vacarme et le visage balafré en colère de Lockdown apparut. Son expression plongée dans un perpétuel rictus se modifia sombrement tandis que ses optiques vertes sans vie se posèrent sur le petit corps frêle de l'étincelant recroquevillé dans le coin de sa boite. Le chasseur de prime tendit une main griffue vers lui puis enroula rudement ses doigts autour de son bras pour le tirer dehors de sa cachette.