mon récit

chapitre 2 :

Je l'ai compris au moment ou mon j'ai découvert qui était mon père et a ce moments la mon cauchemar a commencé. Tous les  matin cela recommençait et recommençait tous les matins, de toutes les semaines, tous les ans jusqu'à aujourd'hui et cela continue encore. A la maison personne ne se rendait compte  de ce que je vivais et je ne voulais surtout pas qu'il le sache. Alors oui on en parlait avec ma mère et ma soeur mais j'essayais toujours de gardé le sourire et je continuait a les faire rire en essayant de garder l'espoir et  l'esprit de gaieté afin de ne pas leur baissé le moral surtout a ma mère (mais vous allée comprendre pourquoi cela lui pèse plus sur la conscience plus tard). Il ne nous faisait du mal mais pas avec des gestes, ni des coups. Mais ils utilisaient bien pire une arme peu connue: la parole.
    Ainsi, il pouvait nous détruire  moralement sans ce faire prendre. Ni que personne ne remarque. Il avait deux facettes, celles avec nous et celles avec les autres. Quand on recoit des invités, il faut attention a nous, enfin a ça manière, il faisait croire a tout le monde qu'il était attentionné envers mes petits frère et soeur. Mais la vérité c'est qu'il jouait un rôle et vous voulez que je vous dise je crois pas qu'il s'en rend compte pour lui c'est normal de se comporté ainsi. De donner des ordres pour que les petits ranges mais si on fait attention a quand il donne ces ordres on voit bien qu'il ne sait pas s'occuper d'enfants. Il leur demande de ranger quand mes petits frères sont en pleine partie. Et il ne fait cela que quand y'a du monde a la maison. Mais quand les invités partent et que la porte se referme, il retourne ce rasseoir a son fauteuil dan le coin du salon devant son ordinateur. Et s'endort la tête penchante et cela m'insuporte alors je souris et range avec ma mère le salon.
Et une fois ceci fait nous débatons des potins que nos invités ont dit. Je fais quelque vanne et surtout quelque jeu de mots pourrit mais comme ils sont tellement pourri que tout le monde rigolent. Et cela me redonne le sourire.