Une explosion retentit. Cela devait être la deuxième ou la troisième, il ne le savait plus. La première était tellement puissante qu'elle avait projeté le jeune homme, une bonne dizaine de mètres plus loin. Lors de la suivante, il senti une horrible sensation de brûlure au niveau du ventre. Il ne pouvait plus bouger, ses membres étant trop lourds pour lui.
Il leva la tête, et aperçut une ombre provenant du centre de la place. en tentant de se rapprocher, le jeune homme vu qu'il s'agissait d'une silhouette humaine, qui semblait être en colère. Cette dernière s'approchait, et n'avait pas l'air d'avoir été touché par aucune explosions qui avaient pourtant au lieu à cet endroit. Le jeune homme suppliait pour survivre et de chaudes larmes tombait de ses yeux. Lorsqu'il aperçut des bottes noires tout près de son visage, il compris ; et s'évanoui.
Il se réveilla difficilement dans une petites chambre. Les murs autour du lui étaient blancs, sont lits, ses draps aussi. Lorsqu'il repris ses esprits, il vu que la silhouette était là. Elle était cagoulé, et portait des vêtements et des gants noires, comme si elle ne voulait pas être reconnue.
"Qu'est-ce que je fous ici ?"
Son interlocuteur ne répondit pas. Le jeune homme ne comprenait pas ce qu'il se passait mais aperçut la porte.
Il cherchait à partir, lorsqu'il comprit qu'il était attaché par les pieds. La silhouette se leva et sortit de la pièce sans dire un mot.
Il tenta de se libérer, en vain. Il commença a désespérer lorsque la porte s'ouvrit à nouveau. Ce n'était ni la silhouette, ni l'un de ses amis qu'il avait perdu de vu lors de la première explosion.
C'était un homme mais au plus âgé. Il détacha le jeune homme rapidement sans dire un mot. Lorsqu'il eut finit, il se précipita vers la fenêtre en tentant de l'ouvrir.
"Merci, dit le jeune homme en se levant. Qui êtes vous ?"
Personne ne lui répondait comme si tout le monde autour de lui était sourd.
La fenêtre maintenant ouverte, l'autre dans la salle lui indiqua de s'échapper.
"Vous ne partez pas non plus ?"
Il détourna la tête, l'air pressé et de plus en plus nerveux. Le jeune homme s'exécuta et sorti par la fenêtre ; il n'était pas réellement en hauteur.
Une fois sorti, il se mit à courir sans vraiment savoir où aller. Dès lors que l'autre ne l'eut plus dans son champ de vision, il repartit dans la direction opposé, et cacha sa tête dans la chemise en murmurant:
"Mission accomplie."
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Petites histoires très courtes.
RandomJe crois que les gens appellent ça des "One Shot", mais je n'aime pas cette appellation. Pourquoi faire un titre cours lorsqu'on peut écrire un titre, long, chiant et impossible à retenir ? Allez, c'est parti dans un trip poétique pour vous attirez...