Teared paper

Part 3: sibling's talk

Il était maintenant 23 h, allongés et dénudés tous les deux sous mes couettes, Kyle caressait mes épaules dénudées et traçait des cercles avec ses doigts, moi je traçais sa musculature impressionnante, mais quand Je remarquais que ce n'était pas logique ce qu'on faisait,  je soulèvais ma tête et le regarde directement dans les yeux:
-Kyle... Il répondît par un gémissement ( hum calmes toi haha) On est quoi ?
- Des humains, affirmait-il d'un ton railleur, fier de sa blague, il afficha un rictus au coin de sa lèvre.
-Non sans blague, je veux dire toi et moi, on fait quoi ? Kyle compris enfin que c'était du sérieux, alors  son rictus disparut.
-Je ne sais pas, j'ai des sentiments pour toi, mais on en a déjà parlé, et tu m'a bien affirmé que tu n'avais aucun sentiment pour moi.
-On peut essayer ?
-Tu sais que je t'aime depuis le Ce2... rigola Kyle.
- Ouais, un rire s'échappe de mes lèvres, même que t'avais fait un poème et je me rappelle qu'à la fin tu as dis « Tu es la moutarde de mon ketchup ».
-Oh la honte, éclata Kyle de rire.
C'est là que quelqu'un toque sur ma porte violemment. Nous nous relevons rapidement et essayèrent de nous habiller:
-Amy ? Ouvres ta porte. Cria le grand frère de Amy.
-Euh attends... Répondais- Je d'une voix tremblante en essayant de mettre un habit.
-Ouvres ta porte. Insistait-il en frappant sur la porte
Kyle paniquait et ne savait pas par où se diriger, je lui pointe alors la fenêtre. Il pose alors un chaste baiser sur mes lèvres, tandis que mon frère frappait de plus en plus fort.
Je cours vers la porte et l'ouvra en criant:
-Quoi ? T'es fou ou quoi ? Pourquoi tu nique ma porte, mais ça va pas ?
Indifférent de mes reproches il dit
-Tu faisait quoi ?
- Je roulais un joint... Il se retourna brusquement vers moi,l'expression grave, les yeux sur le point de tomber de ses orbites. Mais non dumb ass, je dormais.
-Pourquoi t'as pris beaucoup de temps pour ouvrir la porte ?
- Parce que je dors nue, Et j'ai pas envie que tu me voies nue...
La tête de mon frère était a mourir de rire, une expression de gêne et d'incompréhension .
- Ah, daccord, tu fais chauffer les lasagnes ?
- Je suis trop fatiguée, fait le toi même s'il te plaît. Ma voix devenait mielleuse.
- Ok mais tu ranges la table...
- Si tu le dis...
Mon frère déjeune alors et je range ses assiettes, c'est alors que lorsque je me dirige vers le les tabourets pour ranger le plat de lasagnes, je vis comme un papier roulé, interpelée par cet objet, je me penchais pour le prendre dans mes doigts et l'examiner.
Oh mon dieu, c'était un joint, troublée et énervée, je me dirige vers la chambre de mon frère ( en marche rapide ) et toque à sa porte si fort, que mes jointures me firent mal.
Il ouvrit sauvagement la porte en me lançant un regard noir, c'est alors qu'il vit mon état qu'il dit:
-Qu'est-ce qu'il y a ?
- JE SAIS PAS !! C'EST PAS COMME SI J'AI TROUVÉ UN PUTAIN DE JOINT DANS LA CUISINE ?
Dans la merde, mon frère tourna sur lui même avec les mains dans les cheveux.
- Ne dis rien à maman.
- Et pourquoi pas ?
- Tu veux vraiment que maman apprenne pour ses bouteilles et ces cigarettes, qui ont disparu ?
Cette dernière phrase toucha mon point faible, sans mots, bouche-bée et stupéfaite, mon frère souris, ce genre de sourire de victoire, le fameux : Alors on fait moins la maline ?
Le vicieux...
-t'as intérêt à fermer ta bouche si tu veux que la mienne soit close.
-Et, la prochaine fois que je vois ce fils de pute chez moi ou je le défonce.
N'ayant pas compris la phrase, je grimaçais et répétais ses mots.
- Chez moi ?
- je parle de ton pote la, Kyle, franchement...
J'écarquillais les yeux, oh le bâtard!
Il était déjà 2 h et maman n'était pas revenue,, c'est pas grave, je vais dormir.

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DONC JE POSTERAI CHAQUES 3 jours
Salut !