J'aime ses rares courbes, incohérentes.
Paisible était la violence de son cœur.
A force de te chercher, j'ai fini par te sentir sur mes lèvres.
Me connais-tu ? As-tu en serait-ce qu'une idée de mes noirs épanchements ?
Muse un jour, pour toujours, ce n'est pas rien.
Joue-t-on son existence sur un regard ?
Ne soyons pas frileux de mots.
Ce n'est pas de l'amour, c'est du sable. Balayer ou croire : peu importe.
J'ai le cœur en cavale en permanence.
Nimbés de nos légendes respectives, nous ne savons encore comment accorder nos pas.
L'étreinte est bestiale, se passe des mots, sinon d'insultes.
« Vous êtes là – dit-il sourdement, comme si le dire seulement donnait le vertige – vous passez auprès de la table et votre main s'y pose un instant... » (Alain-Fournier)
L'embrasser là, dans le creux blanc et doux de sa nuque duvetée, c'est peut-être ce qu'il y a de plus abouti dans ma vie. Tout un être résumé en un baiser.
J'apporte l'étincelle, mais aussi l'incendie.
Poète en série, je glane çà et là quelque trophée.
Je mêlerai bien quelques caresses à nos conversations.
J'ai perdu toute notion du sentiment quand je l'ai quittée. L'amour, pour moi, est un mot trop rincé.
VOUS LISEZ
Formules, phrases, écrites ou piochées ci et là
RandomJe traîne depuis un bout de temps des carnets dans lesquels j'inscris mes pensées, quelques rêves, quelques tournures de phrases, quelques blagues parfois... La formule, c'est la cristallisation d'un instant, d'une pensée réduite, mais qui ne demand...