La vie est l'affaire de chacun.
La vie appelle la vie ; le rêve, un autre rêve.
Vivre arbre, marcher quand même.
Poussière en quête d'un peu d'infini, je m'égare dans le vent.
Je n'écoute que les leçons que je trouve par terre.
Bâtis, sont les hommes. Argile infructueuse, ou seulement en misères.
Le bonheur est un état d'esprit, pas un état des choses.
J'ai pu saigner par poésie.
La vie ne m'est chère qu'attentive.
Vous êtes si habitués à faire semblant de vivre que vous n'existez plus. Voilà la société : elle nous pousse aux apparences. Et c'est la pire des oppressions.
C'est ainsi que nous devons vivre : enragés.
Ce n'est pas en restant sur les bords de la vie que je vivrai. Je plongerai dans la vie pour m'y noyer.
La mère est le seul être qui nous lie au néant.
On s'habitue trop aux gens, on oublie à quel point ils nous sont étrangers.
J'ai parfois envie de déchirer ma vie comme une feuille de papier, et tout recommencer.
Avoir une vie sociale, c'est tout un art et comme tout art, il se réinvente en permanence.
Je n'échangerais ma vie contre celle de personne, mais je la recommencerais bien.
Le jeune, on le regarde toujours d'un œil mauvais. Par peur, par jalousie, qu'il ne rentre pas dans notre cadre d'adulte accompli, qu'il dise, qu'il vive, quelque chose de plus grand.
Marcher toujours, chercher l'excès de vie : pas un compromis qui n'est compromission.
Je donnerai ma vie pour un peu de poésie. Rien d'autre n'a vraiment d'importance.
Peut-on vraiment rater sa vie ?
Il faut se perdre bien souvent pour trouver enfin la bonne orientation.
« Maintenant, elle aussi allait connaître cette vieille joie et ce vieux désespoir d'un sou de plus ou de moins. » (Faulkner)
Je voudrais vivre aussi librement que j'écris.
Pas assez de vie, pas assez de lecture, des émotions brutes et brutales, telle est l'adolescence dont on sort toujours, plus ou moins.
Né, l'on choisit parfois de grandir et de courber l'échine comme tant de frères, de sœurs, avec, dans l'œil, le même regard de veau tranquille, à peine troublé par le train de ses passions et de ses rêves.
C'est une forme d'optimisme dangereux, sans doute, que de vouloir résoudre les problèmes en les niant.
VOUS LISEZ
Formules, phrases, écrites ou piochées ci et là
RandomJe traîne depuis un bout de temps des carnets dans lesquels j'inscris mes pensées, quelques rêves, quelques tournures de phrases, quelques blagues parfois... La formule, c'est la cristallisation d'un instant, d'une pensée réduite, mais qui ne demand...