demonica

CHAPITRE 3

J'avais ramené son corps inerte dans mon monde à moi. Allongé sur mon lit, je le surveillais. Personne ne devait le voir, ce n'était pas naturel c'était contre mes lois, contre les traditions toutes entière. Mais il ne pouvait pas vivre caché ici le restant de son éternité. Comment pourrais-je exposer les problèmes qui s'offraient a moi, à ma tribu ; on m'avait pourtant répéter des millions de fois de ne pas faire ça. Que c'était interdis je n'aurais pas dû être prise de pitié par cet humain.

Après tout, je n'avais pas eu pitié j'étais carrément tombée amoureuse de ce jeune homme.Cela relevait presque de la honte mais je m'en ficher. Je le voulais , il était a moi qu'on le veuille ou non.

Pris de fièvre intense depuis plusieurs heures, il gigotait dans mon lit comme si on l'avait attaché à quelconques objets. Je n'avais pas étudié le sujet assez profondément pour ressentir sa douleur mais je pense que le venin sera pris en compte dans exactement 1 heure. Je devrais donc être à ses côtés. Tout lui expliquer et assumer mais faits et gestes. "An imortal lie" un éternel mensonge. Cette phrase pourtant si belle avait quelque chose de noir qui attirait toute mon intention. Je la vivais, elle s'exclamait à travers moi.

Je pris un bouffée d'air et partie sur le pavillon de ma maison, laissant Ethan dans mon lit prit en captivité par la fièvre. La pleine lune éclairait en abondance est en perpétuité le sol noir qui me servait de maison j'offris mon visage a celle-ci savourant le bonheur qu'elle me procurait. Je pris un livre que j'avais volé dans une librairie humaine. Hush hush, l'histoire d'un ange déchu du paradis. C'était comique dans ma situation de lire ces choses.

Je pris le livre et comme a mon habitude, je me laissa entrainer dans les rêves fou irréalisable et incontrôlés des personnages de ce roman. Les seuls à pouvoir prendre possession de mon être je ne pouvais pas lire un livre sans vivre l'histoire intérieurement sa m'apporter un bien-être que je ne saurait exprimé a travers de simple mots.Je revins donc dans ma chambre un fois ma lecture terminer & je vis que  Ethan ne bougeait plus. Le processus devait avoir fini. Je m'assis délicatement à ses côtés. Ma main dans la sienne je regardais lentement ses paupières s'ouvrirent peu à peu pour laisser apparaître ses yeux bleus. Ces derniers remplis d'incompréhension et d'inquiétude cherchèrent désespérément le moyen de se situer géographiquement. Mon protégé  se leva brusquement, surpris par la puissance qui avait grandis dans ses jambes celui-ci arrêta son geste. Il se trouva en face d'un miroir vieux et délabré qui avait appartenu à des générations passées.

Il regardait son reflet, déconcerté il toucha ses ailes qui avait pris place dans son dos. La transformation avait était grande il était encore plus beau il était simplement indéfinissable. Sans voix il me regardait comme si j'étais son unique issu de secours. " Où suis-je ? Et tu t'appelles comment ? Pourquoi ne suis-je pas mort dans la voiture et pourquoi ais-je des ailes dans le dos ? " Questions basique  mais vital pour s'habituer a une telle situation. " Je m'appelle Ylana, maintenant calme-toi Ethan, je t'expliquerais à la condition que tu viennes a mes côtés "Il s'exécuta, je regardais ses mouvements gracieux et amples qu'il affirmait dans une démarche d'homme mûr et fort.Il était pourtant sur la défensive et affirmer corporelement qu'il était prêt a ce battre si il devait en arriver là , même avec les cernes qui s'était reposer sous ses yeux , par manque de sommeil.

Se tenant sur ma gauche celui-ci me pris la main en attente d'explications. Je lui expliquais alors, ce qu'il était, et ce que, grâce à moi, il était devenu. " je n'étais pas censée te voir, alors pourquoi cette loi ne s'est pas appliquée à moi " Je répondis sans trop étaler sur le sujet " On dis souvent que l'amour est plus fort que tout, ça fais depuis que tu portes des couches que je te surveille, mon travail était de t'accompagner jusqu'à ta mort, pour que celle-ci sois le plus naturel possible. J'ai vue ce que tu as fait, j'ai vue tes pensées et tes erreurs. Je te connais et apparemment, c'est réciproque mais il faudra exploiter ceux-ci Ethan, ta vie a simplement et irrévocablement changé, demain, nous parlerons a la Tribu, Maintenant il faut que tu te reposes. Je suis désolé mais je n'ai que ce lit deux places et je ne suis pas assez gentille pour dormir à terre."

Sans un mot il se coucha dans le lit moi à mes côtés. J'entendis rapidement sa respiration lente, il dormait, rêvait ou cauchemardait. Je ne sais pas et je ne veux pas savoir, pour l'instant je sombrais dans les bras de Morphée.Sur terre on aurait dis " le jour se leva et..." mais non pas ici. La tête ailleurs je pris rapidement connaissance. Une main s'était attardé sur ma taille, je me tournai vivement prête a attaqué lorsque que je vis  Ethan, mon coeur ce calemer , mon esprit deffensif aussi.Je réveillai alors la belle au bois dormant qui jonchait dans mon lit.

Le temps qu'il reprenne ses esprits car je le connaissais il en avait pour une dizaine de minutes, je pris donc la sage décision de me doucher. Arrivée en bas je vis Ethan chercher désespérément son déjeuné préféré : le Nutella. Nous n'avions plus besoin de manger même si la nourriture ne nous écœuré guère. Moi gourmande je prenais toujours de la nourriture humaines, une chance pour lui, je suis bien une des seules personnes a avoir gardé des habitudes alimentaire.Je lui tendis alors le pot de Nutella, celui-ci dejeuna sans trop poser de question. L'ambiance était lourde mais je lui laisser le temps de se faire a l'idée qu'il ne sera plus jamais comme avant , que sa vie entière avant changer. Et ça , on a beau y être preparer , le vivre c'est une autre histoire.

Une fois bien réveillé. Je pris Ethan par la main, je sentis une réticence mais l'ignora, il s'accommodera bien un jour et l'emmena dans le centre du village pour y chercher l'Ancien.Ce dernier nous accueilli avec bonté jusqu'au moment ou il comprit que Ethan n'était pas réellement des nôtres. Il ne voulut pas comprendre le passée. Mon sang ce glaça, mes yeux sortir de leurs orbite ce n'était pas possible, je ne pouvais pas l'accepter. Ethan venais d'être condamné à mort.

Oh ! Attention, monseigneur, à la jalousie ; c'est le monstre aux yeux verts qui tourmente la proie dont il se nourrit. (William Shakespeare Extrait de Othello )