demonica

chapitre 6

C'est quand je me remit a regarder le visage d'Ethan , c'est lorsque je plonger mes yeux dans les siens que se sentiment s'empara de moi, comme une vague qui traverser mon corps ,cette chose qui étouffait mon coeur d'une façon inexplicable. Ca me remuer les entrailles et je pouvais rien faire d'autre a part rester silencieuse. Le souffle saccadé et mon mal de crâne ne ce lasser pas de me taquiner.

Le ciel bleu avait disparu, dans mon esprit , le chant des oiseaux n'était qu'un bruit épouvantable a mes oreilles, cette mélodie que vous ne pouvez supporter une seconde de plus.

J'avais beau me répéter de me calmer, j'avait mal. Et sa ne changerais sans doute pas.C'était cette émotion, tout droit sortie du bon vouloir de mon Créateur. Il me ferait sans doute payer d'avoir ainsi fuis les siens. D'avoir fuis ce qu'il avait construit.

Mais ce ressenti n'était rien d'autre que la culpabilité

La mains chaudes d'Ethan quitta ma mains pour ce loger sur ma joue. la caressent avec une tendresse infini malgrès c'est mais rugueuses de travailleurs.

-Mais regarde nous Ethan , ça rime a quoi tous ça...

-Tu veux que je te dise ça quoi ça rime? Tu veux vraiment savoir ce que j'en pense?

-Oui, autant être direct et honnête l'un envers l'autre.

-Bon, est bien pour ne pas te mentir , je t'avoue que je suis absolument perplexe , dépassé par les évènement et surtout , incroyablement déçu...

Mes yeux se fermèrent instinctivement. Peut-être pour m'empêcher de pleurer , les filles des livres y arriver toujours ,pourquoi pas moi? Non j'avais décidé que je ne verserais aucune larmes aujourd'hui.J'en avait bien trop laisser couler durant mon enfance.

il devait être perplexe au faite de ses nouveaux pouvoirs corporels.

Dépassé par les évènements, oui c'est vrai que je l'avais pris comme il venait le pauvre..

Mais pourquoi etais-t-il insatisfait de ça condition.

J'était vraiment  indivilualiste a ce point là?

Il était donc si malheureux?

-Pourquoi tire tu des conclusions si attive Ylana. Je croyais que tu me connaissait. Ouvre les yeux, regarde moi. Je ne te fais aucun reproche, en faite , si je t'en fais un.Celui de ne pas m'avoir permis de t'avoir plus tôt. Voilà pourquoi je suis déçu , il ne fallais pas prendre ma phrase aussi mal.Je suis désole si elle ta fais souffrir.

Le soudain changement d'émotions en moi me fit l'éffet d'une caresse on ne peut plus doux sur mon coeur. Un long soupir de soulagement se degagea de moi et je finit finalement par sourire, comme je ne l'avais jamais fais depuis depuis le début de cette aventure,dans lequel Ethan et moi y étions, fourer jusqu'au coup.Je me redressa sur mon séant, j'éffleurer l'herbe du bouts des doigts d'un aire absent. Puis soudainement , je me leva, et je regarder Ethan qui ,comme a son habitude préférer rester coucher. Mais l'insistance avec lequel je le regarder le força a s'élevé sur ses deux jambes élancées et musclées

-Nous devons partir d'ici à présent. Je connais une maison abandonée, assez loin, et si nous voulons y parvenir avant la tomber de la nuit nous ferions mieux de nous mettre en route.

-Oui , mais une fois dans cette fameuse maison ,nous y ferions quoi exactement? Parceque je te rapelle que si elle est dépeuplée n'est-elle pas sujette aux dealeurs? Au vole? tu est au moin sur qu'elle est habitable?

-Je suis fière de ta logique Ethan. Cette maison est spéciale , c'est comme un quartier générale pour les êtres comme nous.C'est Satan qui la crée.

-Mais moi je ne rentre pas la dedans !!! Tu es folle ou quoi? Satan ! Non mais tu te rend compte de ce que tu dis!

- C'est lui qui ma conçu. Comme toi ,c'est dieu qui a inventé ta personnalité. Mais c'est mon maître a moi qui ta élevé. Il ta fais subir une enfance particulière pour t'amener a avoir des aisance avec ce qui touche la logique et la maturité. tu dois lui faire confiance.

- Ah oui? c'est comme ça que tu as grandi toi aussi? tu ma dis que tu na pas sombrer dans la folie meurtrière comme tes parents. Qui te dis que ton créateur ne ce vengera pas?

-Contrairement a Dieu , Satan ne puni pas de ne pas vouloir être a ça merci. Bien sur , pour garder les mains propres Dieu a utiliser les hommes pour infliger une peine de torture a ce qui ne croyais pas en lui. Tu me dira que cela c'est passer il y a des centaines d'années mais les faits sont là et parles d'eux même. Alors que Satan , lui ,continue a t'écouter, crois moi je suis bien placé pour savoir que le mal est parfois capable de trouver une solution. 

- Ok ok je te fais confiance ,ce n'est pas le moment de débattre a ce sujet. Tu me cache telleument de choses tu comprend je suis perdue dans tout ça j'ai l'impression de me noyer avec tous ce qu'il m'arrive, mais je te préviens Ylana , si il ce passe un truc dans cette maisons je te promet que je ne nous laisserais pas dans cette habitacle une secondes de plus quoi que tu fasse. J'ai failli mourire une fois ,crois moi je ne suis pas près de recommencer!

On marcha alors de longues heures, s'accordent une pause bien mériter de temps a autres. Nous n'avions pas pris les transports en commun pour être sure de ne pas se faire repérer. Avec mon style gothique et l'imposant corps d'Ethan nous étions facilement repérable. Lors d'un passage devant un champs, alors que la lune éclairer le chemin que nous empruntion , je m'arrêta et pris les deux mains de mon ancien protégé. Anciens ,ce mot sonne bizarre dans mon esprit mais je l'accepte. Il faisait partit de moi maintenant ,il fais partie de nous en faite. De moi , et lui.

Mon front contre le siens je regarder a présent ses yeux d'un bleu profond.On pouvais ce perdre dedans ,dans cette nuances de couleurs ,d'émotions. On dis que les yeux sont les fenêtre de l'âme. Je laisser son souffle caressait le mien. mes lèvres effleurer les siennes.Mais je n'irais pas plus loin. Pas maintenant.

Alors dans une dernière volonté je m'écarter. regarda au loin, & je vis la maison ,celle que nous cherchions depuis maintenant plusieurs heures. J'allais pouvoir enfin faire ce que j'avais a faire.

S'il existe un enfer en ce monde, il se trouve dans le coeur d'un homme mélancolique.

[Robert Burton]