Une coïcidence ?

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Il se nomme le livre des meurtres, ... de quoi je parle, du livre que moi Victoria jeune détective, j'ai trouvé dans la rue. Je trouvais le titre étrange au début, puis je me suis dit que c'était surement un roman policier ou je ne sais quoi. Je l'ai ouvert et toutes les pages étaient blanches même la première. Je décidai de le prendre avec moi car en voyant un livre avec une couverture et rien d'écrit dedans ça m'a donné envie d'écrire ma propre histoire. Arrivé chez moi, je posai le livre sur mon bureau pris un bic et écrivis mes premiers mots... sauf que mon bic n'avait plus d'encre, j'en pris un autre et pareil, plus d'encre je me dis que c'était le karma puis je me levai et renversai ma tasse de café de la veille sur le livre. Je paniquai et pris le livre recouvert de café le secoua dans tous les sens l'essuya puis remarqua qu'il n'avait rien pas une seule tache. Je compris alors que le problème n'était pas l'encre dans mes bics mais la page vierge qui voulait rester blanche...


À ce moment-là, je me dis que c'était impossible ou peut-être qu'il y avait des produits chimiques qui faisait glisser l'eau dessus ? En tout cas c'était étrange, je le refermai et le mis de coté en restant sur ma théorie des produits chimiques. Je sortis sur mon mini-balcon et décidai d'observer la ville et ces milliards d'étoiles... cette vie était trop calme à mon goût, pourquoi j'ai voulu devenir enquêtrice alors qu'il ne se passe jamais rien ici ? Je ne veux pas que ma vie se résume à dire bonjour à mes collèges tous les jours à 9 h puis leur dirent au revoir à 22 h et à la fin observer la ville jusqu'à tombé morte dans mon lit....


Réveillé a cause du soleil comme tous les weekends, je me levai et prit mon café. Ça me rappela le livre qui était sur mon bureau, je le pris et je l'ouvrai à une page au hasard. Alors, que je buvais mon café je laissai un fond et le versai sur la page. Toujours rien, ... ce livre est limite magique si je puis dire mais franchement ne sers à rien. Je reposai le livre fermé sur le bureau en continuant à l'observer, puis je me dis qu'il était surement et simplement décoratif. J'ouvris le livre à la première page pour voir si je m'étais pas trompé de page hier en ouvrant le livre. Et quelque chose était bizarre, il y avait un nom, un prénom, une date et un lieu. Cette certaine Patricia Morvan est surement la propriétaire du livre, même si j'ai la flemme d'aller le lui rendre je vais quand même faire l'effort. D'ailleurs, c'est étrange... il y a la date d'aujourd'hui et un lieu précis. Devrais-je me rendre là-bas ? Peu être qu'elle avait rendez-vous avec quelqu'un . Bon après tout, c'est qu'un simple livre, elle ne va pas en mourir.


Je décidai de sortir avec le livre dans ma poche pour me balader, ce qui me donna envie d'aller voir Chantal. Chantal est une amie d'enfance qui est mariée à Nicolas... un collègue de travail assez débrouillard, depuis quelque temps, elle n'arrête pas de me dire que Nicolas et elle essayent d'avoir un enfant, après tout, ils sont ensemble depuis 6 ans ça fait quand même long. Je me demande si un jour moi aussi je trouverais quelqu'un comme Nicolas, et dire qu'on se connaît depuis des années tous les trois...


Arrivé devant la porte de Chantal, je sonnai et Nicolas m'ouvrit.

Nicolas : Oh, je ne m'attendais pas à te voir. Comment tu vas ?

Victoria (moi) : Bien et toi ? Chantal est là, je peux rentrer .

Nicolas : et bien mon foie, je vais bien.

Chantal est en haut, elle se sèche les cheveux.

Victoria (moi) : Très bien. Dans ce cas, je vais parler avec toi.

Nicolas : et ben, pourquoi pas.

On s'assit sur le divan et commença à parler des collègues de travail en disant que la plupart étaient quand même inutiles, on se demandait également ce qu'on ferait si on était chef ou directeur ( c'est pareil). Puis, Chantal descendit les escaliers en courant comme une enfant de dix ans.

Le livre des meurtresWhere stories live. Discover now