Chapitre 4 : Le discours

7 1 0
                                    

À 18 heures, la cloche de la ville de départ, sonna. Clain et moi nous nous miment à nous dématérialiser. Quand nous nous rematérialison, nous sommes sur la place principale. Il n’y avait pas que nous deux. D’autres joueurs étaient déjà présents et des milliers d’autres arrivés encore. Puis, la lumière s’assombrit brutalement. Alors apparu un personnage sombre vêtu de noir. Il se mit à parler, « Bonjour, chers joueurs, bienvenu dans mon monde. Je me présente, je suis le créateur de ce jeu. Je m’appelle Mattéo GENNINASCA. ». Là, je mis à comprendre. Premièrement, tous les joueurs étaient présents ici. Deuxièmement, j’ai l’étrange impression ce n’est pas qu’un jeu. Troisièmement, je ne suis plus sur d’admirer ce mec. Il continua son discours. « Comme beaucoup ont pu le remarquer, nous sommes dans la réalité. Elle est juste infinie de créativité. Car nous sommes dans la réalité numériquement ! Mais ce qui m’intéresse, c’est l’absence du bouton de déconnexion. Ce n’est pas une erreur. C’est tout à fait normal ! Pour pouvoir, sortir de ce jeu, il va falloir que vous le finissiez. ». Il mit une pose théâtrale et continua. « Il y a une autre façon mais vous allez vous endormir définitivement de ce monde, ainsi que de tous les autres. ». À ce moment-là, toute la tension explosa et une vague de terreur s’empara de la place. Mais le créateur n’avait pas fini. « Je vous offre un petit cadeau. Utilisez-le maintenant ! (Je reçu un item) Bon jeu à tous et survivez ! ». Je fis comme ce qu’il avait demandé, et d’ailleurs comme tout le monde. Je suis allé ouvrir l’item offert par le Créateur. C’était un miroir ! Je pensais à une blague. Mais mon reflet changea brusquement ! Je me vis moi, le vrai moi ! Et là, je compris une partie du discours qui vient d’être prononcée. Le Créateur venait de créer une réalité alternative numérique sous forme de MMORPG. L’énormité de cette réalité ainsi que des informations que je possédais dessus me fit comprendre une chose. Je devais partir.

Alternative SAO Où les histoires vivent. Découvrez maintenant