Les lumière s'éteignent.
Les bruits de voitures laissent place au silence.
Les grains du sablier continuent de tomber
Et pourtant, tout semble s'arrêter.
Effondrée sur le sol, tu pleures à en avoir mal aux yeux, tu cries à en perdre la voix, tu te noies dans ce tourbillon de sentiments qu'est la vie.
Tu es coincée entre la tristesse et la colère, tu ne sais pas de quel côté basculer.
Tu es lasse. Tu sombres dans la panique. Seule au milieu de ce désarroi, seule dans l'obscurité.
Les ombres se confondent.
Les bruits de la nuit te faussent compagnie.
Je ne te connais pas, mais tu me parais bien seule, bien trop seule...
Et moi j'suis là, à t'observer sans rien savoir faire pour t'aider.