Me voilà, de retour, à écrire. Je prends mon stylo et ma feuille. Je m'assieds sur ma chaise de bureau fasse au mur de ma chambre, je suis prête à crayonner. Mais qu'est-ce que je veux communiquer précisément? Quelle aura cette lette comme signification? Qu'est-ce que je voudrais ressortir de mon cœur pour le coucher sur une feuille? Ainsi, pourquoi nous, les écrivains insignifiants, voulons-nous à tout pris écrire pour nous faire entendre? Pourquoi est-ce la seule manière de lâcher prise, de dévoiler tout ce qui est resté à l'intérieur? Mais finalement c'est ni le crayon ni le papier qui fera le récit de cette lettre, mais bien notre âme, notre cœur, notre chair, qui va laisser une trace sur ce fameux matériaux. Les personnes autours de nous verrons qu'une simple écriture sur ce carton, ce banc ou encore sur le mur de ces toilettes de ce lycée, et chaque personne qui passera se demandera quel imbécile a encore voulu s'exprimer. Les gens se moqueront bien de nous. Mais ils ne verrons rien d'autre que des mots, des lettres. Ce sera comme un vide une sorte de phrase sans sens, qui ne devrait être marquée. Alors que pour nous, nous les écrivains insignifiants, nous verrons un monde, un monde dans lequel nous partons tous. Dans lequel nos sentiments, notre passion arrive à s'évader de notre cage se trouvant au fin fond de notre être. Finalement, grâce à cette délivrance d'écrire nous arrivons à avancer, d'aller de l'avant. C'est notre force à nous. Personne ne le connaît, cet univers, car il nous l'appartient entièrement et seulement nous, pouvons comprendre se ressentiment de force, de bien que cela nous procure.
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Loin de ce monde
عشوائيÀ mon heure je veux vivre, pouvoir pleurer, pouvoir m'énerver, pouvoir m'amuser, pouvoir le dire, ici c'est mon histoire, ma vie. Je veux l'affirmer. Pour ne plus être indifférente. Qu'importe ce qu'on pourrait me dire.