Ma douce voix t'envoutais, te séduisais, tel le chant des sirènes. Tu pensais avoir le contrôle sur moi, mais c'était plutôt l'inverse. Je contrôlais chaque mouvement, chaque respiration que ton corps donnait. Mes ficelles étaient attachées. Sans t'en rendre compte, tu t'étais lancé dans mon délicieux piège. Tu pensais que j'étais ton ami, ou plus. Un plan cul peut-être.
Pauvre idiot.
Une main sur ton torse. Une petite fessée. Quelques phrases avec des sous-entendus. Tout était subtil, et pourtant tellement efficace. Je te contrôlais, toi petit agneau sans défense. Ton ego était surdimensionné. Tu étais arrogant. Tu voulais me montrer ta collection de jouets qui ôtaient la vie. Tu voulais me montrer ta puissance. Et je te laissais faire, me taisant. Je retenais mes sourires narquois et mes rires moqueurs. Comparé à moi, tu étais insignifiant. Tu faisais presque pitié.
Encore une main dans tes cheveux. Une petite fessée. Une langue passa sur des lèvres. Un jeu de séduction s'était installé entre nous. Nos corps se rapprochaient, voulant se toucher, se caresser. Tu pensais avoir le contrôle sur moi. Mais c'était tout l'inverse. Pauvre petit lapin. Tu étais maintenant capturé entre mes griffes séduisantes.
Rapidement, tu devins impatient. Ton regard innocent devint noir et rempli de désir. Tu agrippas ma main et m'amena dans l'une de tes nombreuses chambres privées.
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