Chapitre 3: mon frère

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Loisse: 24h plus tôt ( avant le chapitre 1)

La porte de bois claquée, j'apparu sur le pas de la porte, le nez cassé. Sans essayer de trouver une justification pour ma mère je monta directement dans ma chambre, ignorant mes deux petits frères. La porte claqua une seconde fois laissant apparaître mon frère jumeau Zack. Je savais qu'il était énervé, mais il ne laissa rien paraître dans sa voix lorsqu'il salua ma génitrice. Ses pas se faisaient entendre bruyamment dans le vieil escalier. Et comme je m'y attendais il ouvrit violament la porte de ma chambre et la referma aussitôt être entré:

"- Regarde moi" ! S'exclama t-il

Je leva à peine la tête pour essayer de dissimuler ma blessure et par la même occasion ma douleur. Après un rire assez nerveux il me demanda :

- "Et tu compte quand même me dire qui c'est !? Hein !?

C'est Ethan et ces enculés de potes! C'est ça!" Hurla-il

Ces paroles. Ces paroles résonnent . elles résonnent et je tient plus! Et sans réfléchir je me levai laissant apparaître ma blessure, ma jupe d'uniforme vola. Je m'écria je m'époulmona pour mettre de l'assurance dans ma voix tremblante

" Éthan ne ferait jamais ça!"

J'espere aurais-je voulu ajouter

"Il me l'a promis!

-il te l'as promis? me demanda t'il? Laisse moi rire! Et tu me dire qui a commencé ? Qui t'as fait ça ? Répliqua t'il d'un ton froid en désignant mon nez cassé.
"Combien de fois je vais devoir te le répéter ?! Il te l'as promit. Un faible rire jaune ce fit entendre. Il était rouge, enragé mais apres avoir crier plus fort encore que moi, il marmonnait à présent...

Il n'avait pas tort c'etait Éthan,

l'un des premiers à se moquer de moi à la sortie du lycée, l'un des premiers à me bousculer, l'un des premiers à me faire souffrir... Apres des explications bancales nous sommes devenus "amis" enfin c'est un grand mot. Nous avons commencé à nous trouver des points communs, comme notre solitude, oui c'est vrai nous étions seuls. On se maintien mutuellement hors de l'eau sans vraiment donner de l'amour à l'autre. Une bouée de sauvetage qui cherche elle-même à ne pas couler.

Malheureusement mon frère ne voulait rien entendre. Je continua de défendre mon compagnon de la course contre la vie:

"Laisse le, le probleme ne vient pas de lui!" M'exclamais-je

De moi peut-être?

La course contre la vieOù les histoires vivent. Découvrez maintenant