Il était une fois un homme qui partit prendre la mer, cette homme n'était ni un pêcheur ni même un marin. Et pour être franc il n'avait pas spécialement goût pour l'aventure, seulement ses amis l'attendait de l'autre côté du monde et ils étaient parti avant lui. Cet homme avait attendu qu'ils reviennent mais ils n'arrivaient pas alors tandis qu'il s'impatientait il décida de tout faire par lui même. Car si'ls ne venaient pas alors il viendrait à eux. Donc il partit en haute mer, il partit affronter les hautes vagues, et il partit probablement mourir. Mais il avait trop attendu et il partit. Il eu à affronter des vagues si hautes, si hautes qu'il en eut le vertige, tandis que la houle le ballottait dans tous les sens il essaya tant bien que mal de se diriger grâce au étoiles même si avec les nuages qui masquait une partie du ciel c'était mission impossible, et pendant deux semaines et essaya de se diriger, de sortir de cet enfer, il rationna les vivres et l'eau qu'il avait pris avant de partir, mais malheureusement il n'avait pris que de quoi tenir une dizaine de jours et l'eau commença à manquer. La tempête s'était calmée depuis quelques jours et il peut enfin dormir convenablement, et il pleura. Il pleura les larmes de son corps “pourquoi était-il parti ? Ses amis l'avaient-il oublié là-bas ? Était-ce si bien pour ne plus jamais revenir ? Et c'est sur ces interrogations qu'il s'endormit. Il rêva du passé, de ces jours heureux où tout semble beau, où tous sont heureux. Puis il rêva de ses amis partant ailleurs et lui faisant des signes de mains. Mais il ne se rappelait plus vraiment de leurs visages. Il se réveilla en sursaut quand son petit bateau s'échoua sur du sable. Il n'en croyait pas ses yeux ! Le monde n'était pas si grand ! Il avait réussi ! Quand il aperçut les bâtiments il eut alors les larmes aux yeux, il allait enfin les revoir. Il se sentait si bien qu'il se leva d'un coup et qu'il couru vers les bâtisses sans faire attention à son état qui était pourtant préoccupant. Quand il arriva devant la première il frappa de toutes ses maigres forces.
“Les amis c'est moi ! Ouvrez moi je suis venu !”
Malheureusement l'homme qui ouvrit la porte n'était pas un de ses amis, mais un vieil homme qui lui demanda ce qu'il se passait, alors le pauvre malheureux s'effondra et lui raconta son histoire mais quand il arriva au moment où il dit être arrivé au bout du monde l'homme lui pris les épaules en lui disant
“Mais mon ami tu as tort ! Ce n'est pas du tout la fin du monde au contraire ce n'est que la première île. Ce que tu cherche est beaucoup plus loin !”
