chapitre 56

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je suis rentré chez moi il est 1h25 du matin 

quand je rentré dans le salon je voie julian qui dort sur le canapé, je lui mets une couverture sur lui, et je lui fais une bisous sur le front 

c'est plus fort que moi, je ne peux pas m'en en pêche mais il est trop mignon quand il dort.

je l'aime beaucoup mais j'en peux plus de sa jalousie 

bref je vais me coucher 

je me réveille vers 9h30 je me douche, m'habille, julian dort encore je le regard dormir en un peut puis je décide de le réveillé 

moi: julian, julian réveille toi 

je lui caresse les cheveux 

julian: bonjour marie ça va?

d'une voix endormi 

moi: oui et toi ?

julian: ça va, tu n'est plus fâcher à près moi ?

je mets du temps à répondre à sa question 

julian: tu es rentré tard hier soir 

moi: oui 

julian: je suis désolée, je savais pas que je suis fessais du mal avec ma jalousie, c'est juste que tu es la seule personne qui compte pour moi 

moi: et ta copine elle ne compte pas pour toi ? 

julian: on n'est plus ensemble 

moi: ah c'est pour que tu es aussi triste 

julian: oui et non, tu me manque beaucoup à paris et pas qu'à moi, c'est vrai que tu t'es engueuler avec ton frère 

moi: oui à cause de ma belle soeur 

julian: tu ne la jamais vraiment aimer , pourquoi tu es partie ici? 

moi: j'avait besoin de partir la vie en n'Allemagne ne me plaisez plus, j'avait l'impression que mes amis était plus mes amis 

julian: et à paris ? 

moi: je voulais être un peut seule, puis mes parent était toujours sur mon dos à savoir si j'avait un petit copain et tout sa quoi soit , la seule chose que j'était triste c'était de te laisser, puis après tu as us ta petit copine tu passer plus de temps avec elle alors je suis dit que je pouvais partir, que tu n'aurais plus besoin de moi, après que tu as commencé à être jaloux  , j'ai voulue prendre un temps avant de te parler 

julian: tu veux dire que si j'était pas avec mon ex-copine tu ne serait pas partie  ? 

moi: non, je ne pense pas 

Julian: tu es heureuse ici? 

moi: oui très heureuse

julian: alors si tu es heureuse c'est la seule a chose qui conte, câlin 

moi: câlin 

julian: dis-moi tu devrais aller travailler ?

moi: ah oui merde ,  bon à tout à l'heure  

 Une chorégraphe en or Où les histoires vivent. Découvrez maintenant