Je courais. J'avais peur, j'avais froid. Je courais alors que je ne savais même pas ou j'étais...dans une forêt je croit...Il fait si sombre...tout ce que je vois ne sont que des ombres et le chemin . Et puis, il y a cet ombre qui me suit depuis plusieurs heures maintenant. Elle est dangereuse...je le sais, je le sens. Je redouble de puissance alors que, une racine d'arbre se mettant sur ma route, je me retrouve à terre. Ne pouvant plus me relevé, je me met sur le dos et décide de faire face à celui qui me suis. Une ombre se moue devant mon visage. Le cri est resté coincer en travers de ma gorge. Son visage à les traits de l'inquiétude, ses cheveux sont d'un brun absorbant, ses yeux...ses yeux sont bleues...bleues hypnotisant...le bleues du paradis. Je fut tenter, rien qu'un instant, de dissiper ma peur mais, ses traits se sont tirées et, les yeux que je contempler, se sont mit à devenir rouges...rouges sang, le fameux rouge de la lave ou encore, de l'enfer. Comme si il avait des crocs, il plongea vers moi.
Je me réveilla en sursaut sur mon lit. Prise de panique, je me mit à regarder autour de moi. Ma commode était bien à ma droite, mes photos était poster sur celle ci et, le fameux chemin sur lequel j'étais il y a quelque minutes, n'étais autre que mon lit. Un soupir s'échappa de mes lèvres et, par habitude, je plaqua une main moite sur celle ci. Lorsque je me rappelai que j'étais chez moi, j'éclatai de rire.
-Ma pauvre Élizabeth ! C'est sa de se cacher aux yeux de tout le monde !
Je me calma puis, lâcha un deuxième soupir. Je poussai la couverture froissées par mes agitation et me levai. J'allai dans ma salle de bain et me lava. Un soupir de contentement m'échappe lorsque la chaleur de l'eau vint rencontrer ma peau. Finit ma toilette, je me brossa les cheveux et descendit en bas pour prendre mon petit déjeuner. Bien sûr, j'étais seule. Je ne savais ou étais Josh et mes parents étaient encore en voyage pour au moins 2 semaine...Le petit déjeuner fini et mon sac préparer, je me regardai une dernière fois dans la glace. Ce n'étais qu'un rêve. Un stupide rêve...ou plutôt un cauchemar...
J'ouvrais la porte et une douce chaleur me caressa le visage puis, je fermai la porte.
VOUS LISEZ
Amourfantome
Science FictionJe m'appelle Élizabeth Dreams. Je suis le genre de filles assez timide, n'ayant aucun ami et s'habillant simple. Vous voyez ? CE genre de filles. J'ai un grand frère mystérieux qui n'ai pas souvent à la maison. De même que mes parents qui voyagent p...