Le voyage de Marie

A première vu les gens pensaient que j'étais une femme banale avec des problèmes classiques. Malheureusement se n'était pas le cas, malgré toute ma bonne volonté je n'y arrivais pas, je ne ressemblais pas à toute c belles femmes, je n'avais pas le caractère doux et calme des femmes bien élevé et de bonne famille Tout ce qui m'intéressais c'était la littérature anglaise et ma famille. Même si la vie n'a pas été  facile avec nous, nous étions quand même heureux d'avoir ce que nous avions.
Pour mon anniversaires mais parents m'ont offert un voyage en Italie. Mon rêve depuis toujours. J'étais tellement impatiente d'y être, les 3 mois d'attente avait durer une éternité.
Rome nous étions enfin là ! Tellement de chose à voir et à visiter. J'étais au paradis. Je courais partout comme une enfant le jour de Noël. Mes parents n'arrivais pas à me suivre. Le Colisée, La Chapelle Sixtine, la basilique St Pierre et j'en passe, je voulais tout faire le même jour.
Après avoir déjeuner Nous avions décider de visiter des grotte (qui se disait hanter )vers les villages reculer appartenant à Rome. Elles étaient sombre et donnaient froid dans le dos. Je marchais devant en oubliant en quelques sorte mes parents.
Cela faisait plusieurs minutes que je ne l'ai entendais plus, je me suis retourné, personne, je l'ai appeler pas de réponse.
Je commençais alors à m'inquiéter.
« Ils sont sûrement sortie » me disait-je a moi même. Une partie de moi imaginais qu'ils me faisaient une mauvaise blague à cause de la rumeur sur cette endroit.
Je m'étais quand même décider à sortir, je l'ai cherchai partout, j'hurlais, je pleurais, je me demandai vraiment ou ils étaient et pourquoi ils m'avaient laisser seuls dans un tel endroit.
Je m'étais alors mis à marcher pour essayer de rejoindre notre hôtel. En arrivant au village que nous avions emprunté à l'aller, j'eu un choque en
Voyant Les habitants qui semblaient venir d'une autre époque, ils étaient habiller comme à l'antiquité avec des toges et aux  pieds ils avaient des sandales marron très moche.
Je m'étais immédiatement dit qu'ils étaient entrain de tournée un film, mais un détail m'avais soudain sauter au yeux. Il n'y avait aucune voiture, alors que dans mon souvenir il y en avait.
J'ai alors demandé à une femme assise sur un gros caillou ce qu'il ce passait, bien sur en Italien. Cette femme avait pris un air effrayé et un homme arrivait d'un pas décidé. Il me parlait en Italien, j'avais compris qu'une seule phrase « non parlare con la mia moglie prostituta » qui veut dire en français « ne parle pas à ma femme, prostituée »
Je ne savais vraiment pas pk il me disais sa alors que ma tenue était bien j'avais une robe beige mis longue et des sandales rien de particulier.
Je me disais qu'il était entièrement dans sont rôles et qu'il ne le pensait pas, pourtant sont regard plein de colère me fixais en se rapprochant petit à petit.
Plus il se rapprochait, plus je reculait en trébuchant, l'homme me rattrapa et me mis un sac sur la tête. J'hurlais encore et encore sans que personne ne vienne m'aider !
Sachant que je me débattais pour rien, je ne devais pas utiliser encore plus d'énergie.
Je m'étais retrouver sur un charrette et je m'en allais vers une destination inconnu. J'étais exténuer pour pouvoir garder les yeux ouvert, je m'assoupis alors quelques minutes.
Les bosse sur le chemin mon fait me connier la tête contre le bord du « véhicule », un réveille quand même brutale.
Quelque minute plus tard la charrette s'arrêtait et l'homme me reprenais encore sur son épaule. Je lui demandai s'en arrêt où il m'emmenais mais en vin.
Je m'inquiétais vraiment !
Nous étions arrivés devant un grand palais devrais-je dire un immense palais, il était en excellent état entourer de colonnes typique de l'antiquité. Des gardes étaient posté à tous les coins de cette édifice.
Mon « compagnon de voyage » qui d'ailleurs ne sentait vraiment pas très bon, me descendit de son épaule et monta les marches, il parla avec un gardes en uniforme de soldat de la même époque . Je ne comprenais rien à se qu'ils disaient mais en tout cas il nous fîmes entrer. Nous nous faisions escortés par 2 gardes qui ne souriait pas du tout.
Dans la grande salle où nous arrivions qui était d'ailleurs incroyable par sa grandeur et sa beauté, des fleurs, des drapeaux et j'en passe.
Un homme était assis sur un genre de trône, j'avais l'impression d'avoir déjà vu cet individu mais c'était impossible. Nous nous rapprochions petit à petit jusqu'à me trouver à quelque mètre de lui. En effet  sont visage ne m'étais pas inconnus, c'était un homme que j'avais étudier à l'école. Oui je m'en souvenais c'était Auguste le neveu de Cesar !! Mais c'était impossible Auguste vivait à l'antiquité et il est mort en 14 après JC. Je ne peut pas y croire c'était une doublure obliger. La première question que je lui posie était en quelle année étions nous. Il s'était mis à rire comme si jetait ridicule mais il me repondit quand même que nous étions au début de sont règne.
Ju un choque, cela voulait dire que jetait entre -27 et -30 avt J-C, c'était inimaginable pour moi de juste imaginer que j'étais revenue à l'antiquité.
Je m'étais mis à pleurer toute les larmes de mon corps en imaginant que je ne rêverais peut être plus mes parents et ma famille. C'était horrible, cette sensation d'abandon était insoutenable.
Auguste se mis crier quelque chose en italien que je ne comprenais pas mais qui m'avait immédiatement fait arrêter de pleurer.
Auguste parlait avec l'homme qui m'avait emmené ici, je ne comprenais vraiment pas leur dialogue. Soudain Auguste s'adressa à moi en français cette fois en me demandant de dire qui j'étais.
Je lui dit alors que je m'appelais Marie Tournevelle.
Je tremblais parce que je me demandais ce qui allais ce passer. Il reprit la parole pour me demander pk j'avais parler à la femme de ce certain Marius (celui qui m'avait en mener ) je découvrit enfin son nom.
J'avais décidé de pas parler de se saut temporel par peur de me faire tuer.
Je lui répondis alors en mentent un petit peu que je lui avais parler car je cherchais mon chemin et que ce « Marius » m'avais pris en otage.
Il souleva les épaule comme si cette situation était banale.
Il me regardais avec insistance comme si je lui plaisais.
Auguste dit après un long silence: « Je vous prend comme maîtresse ma chère vous habiterez dans des appartements du palais et vous me rejoindrez quand je vous le dirai! »
Sur le coup je voulais refusé mais je risquais de me faire tuer, je pris alors la décision qui pour était pour moi là plus on inconcevable mais en tout cas la plus censé.
Après 3 semaine passer en étant la maîtresse de ce cher Auguste, je m'étais rendu compte que la vie des femmes à l'antiquité n'etait vraiment pas simple, je n'avait aucun droit, je devais dire oui à tout ces désires quelqu'il sois, sans négocier.
Auguste était dure avec moi, il refusait que je donne mon avis, il ne s'occupait pas de mon bien être. J'étais bonne qu'à lui donner du plaisir. Chaque  « moment d'intimité » que nous avions ensemble me dégoûtais encore plus à chaque fois, je finissais toujours en pleure dans ma chambre, à me demander pourquoi moi, comment je pourrais rentrer chez moi.
2 mois que j'étais ici et je n'en pouvais plus de cette vie précaire pas de Wc pas de douche, je crois que c'était ça le plus dure la douche, que je doivent me laver dans une bassine d'eau à la vu de tout les monde.
J'avais rencontré des personne charmante, je m'habituais petit à petit à ma nouvelle vie.
Soudain J'ouvris les yeux et vus une chambre entièrement blanche avec juste une table et le lit où j'étais allongé. Un homme entra et me dit qu'il était leurs de dîner je ne comprenais vraiment pas se qui m'arrivais il y avait encore quelque minute j'étais à l'antiquités et là j'étais dans une chambre moderne.
Je le suivi et arrivais dans une salle, une immense salle où il y avait presque 100 personne.
Je m'installai à table avec une femme et je lui posa la question « ou somme nous » elle m'a répondu que nous étions à crimson peak l'hôpital psychiatrique de crimson peak.