Chapitre n°58

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           • Pdv de Charlotte :

J'ouvre les yeux, je vois de la peau mat, j'inspire, je suis encore dans le cou de Rose.

Je me relève doucement, elle regarde son téléphone, elle tourne la tête vers moi. Elle sourit puis vient m'embrasser.

- Rose : Enfin réveillé bébé.

J'hoche la tête en baissant les yeux me rappelant de ce que j'ai fais au matin.

- Rose : La brune m'a tout dit. Je ne t'en veux pas puisque c'est elle qui t'a embrassé.

Sa main se pose sur ma joue.

- Rose : Je lui ai réglé son compte, elle ne s'approchera plus de toi.

Elle remonte mon visage pour le mettre face au sien.

- Rose : Elle a presque rien si tu veux savoir. Maintenant regarde-moi.

Je lève doucement les yeux pour les ancrer dans ses yeux noisettes.

- Rose : Je t'aime.

- Moi : Je t'aime aussi.

Je pose mes lèvres sur les siennes, je passe ma langue sur sa lèvre inférieur, elle ouvre un peu plus la bouche pour que ma langue aille danser avec la siennes. Je m'assois sur ses cuisses, j'arrête le baiser langoureux mais continue avec un baiser passionné. Rose se recule d'un coup, elle se tient la lèvre inférieur.

- Rose : Merde.

Elle me regarde et fais les gros yeux.

- Rose : Oh. Mon. Dieu.

Elle me fait tomber sur le matelas et sort en courant de la chambre. Qu'est-ce qui se passe ? Je retire le cathéter, je vais dans la salle de bain. Je recule en me voyant dans le miroir. Je touche le tour de mes yeux, des veines y sont ressorti, mes iris sont rouge sang. Qu'est-ce qui m'arrive ? Je baisse mon regard pour découvrir des canines longue et pointue avec du sang. La porte de la salle de bain s'ouvre, je croise les yeux du Docteur Wirney, j'entends son pouls pulsé, une envie de sang me parviens. Je me rapproche rapidement, je sens quelques choses me picoter la nuque. La doctoresse, vient de me planter une seringue dans le cou. Je m'écroule par terre, je ne peux plus bouger mon corps mais je suis encore consciente. Rose me porte, on sort de la chambre, on passe dans des couloirs désert, on arrive dehors, on me monte dans une voiture. Rose place mon visage face au sien.

- Rose : Tu es en train de te transformé.

- Moi : Me transformé ?

- Rose : Oui, on avait pas le choix, c'est soit tu deviens une des notre soit tu mourais. Avec ta mère on a choisi de te faire vivre, je voulais pas te perdre.

On descend de la voiture, on est chez nous, on va dans le garage, elle ouvre une porte qui à l'apparence d'un mur, il y a une pièce avec des chaines accroché au mur.

- Moi : Je veux pas être accroché.

- Rose : On est obligé, moi aussi j'ai étais accroché ici.

- Moi : Me laisse pas seule.

- Rose : Jamais je te laisserai seule, je vais rester avec toi jusqu'à la fin.

Elle m'assois par terre, le sol est froid. Elle m'accroche, je commence à pouvoir re-bouger, je la tient par la main. Elle reste accroupie, elle m'embrasse le front.

La légende. [EN REECRITURE]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant