tu crois que tu peux l'aimer,
et que le temps t'aidera,
à la faire chavirer,
comme ça, entre tes bras,
mais ouvre donc les yeux,
elle a le coeur ailleurs,
elle vole où brule le feu,
pour que vibre son coeur,
tu crois qu'elle changera,
qu'elle deviendra sagesse,
mais cette femme là,
n'aime que dans l'ivresse,
un souvenir lui revient,
et elle aime à nouveau,
en relâchant le frein,
pour excès sur sa peau,
tu crois que tu peux attendre,
qu'un jour elle comprendra,
et qu'elle viendra se rendre,
dans un méa culpa,
mais ouvre donc les yeux,
elle a le coeur ailleurs,
elle vibre à coup de voeux,
qui ne s'exaucent pas d'ailleurs,
tu crois qu'elle t'aimera,
mais ses espoirs l'appellent,
ailleurs que dans tes bras,
où ses nuits se font la belle,
elle est comme l'animal,
qu'on ne peut apprivoiser,
ou comme un doux pétale,
qui tombe une fois frôlé
