Love me like you do

Chapitre 42

-Moi: Oui je l'aime, mais comme un ami. C'est tout. Il est gentil et drôle et il est en couple depuis deux ou trois ans je sais plus.

-Tété: Ahh ouais?😅

-Moi: Tu t'ai fais des films hein!?

-Tété: N..nan..nan pas du tout.

-Moi: Mes fesses c'est du poulet ouais!

-Tété: Krkrkrkr Ah oui? Bah je viens bien goûter.😏

-Moi: Ta gueule sale pervers!

On mange dans le silence pendant une dizaine de minutes. Et il finit par l'ouvrir.

-Tété: Tu dois faire tout ce que je veux à partir de......maintenant.

-Moi: Quoiiii?? Pourquoi???

-Tété: Hier...

Hier?😐

Il me montre son poing et sa lèvre.
Ahhh oui je lui ai dis que je ferai tout ce qu'il voudrait pour m'excuser de l'avoir frapper!

Et merde...

-Moi: Non! C'est pas le moment on vient de se disputer. J'ai pas envie de rire avec toi.

-Tété: Alors tes excuses étais pas sincères?

-Moi: Si...

-Tété: Alors tais-toi! 😁 Et écoute mes ordres!

-Moi: Je vais te tu...

-Tété: tututut! J'ai dis tais-toi!

Je prend une boucher de mon pat. Je sens que je vais pas le supporter longtemps se petit con!

-Moi: Zva Faire Foutre!

Dis-je la bouche pleine.

-Tété: Chuuutt!😊

Il y a deux secondes on allait se frapper et là en parle normalement. Enfin "Normalement" en gros ça rentre dans la norme pour nous. Il est vraiment chiant. Il me soule parce que je l'apprécie.

-Tété: Donne moi un peu de salade. J'en ai pas pris et je voudrais goûter s'il te plaît!

KRKRKRKRKRK
Il a fumé un pétard celui-là.

-Moi: Tout sauf la bouffe!

-Tété: Ahh nan t'as dis tout! Tout, y compris la nourriture!

-Moi: Tu touches ma salade, je t'arrache le coeur et je le mange demain soir! C'est compris?

Il le regarde surpris et avance son bras vers mon bol.

-Moi: Sur la tombe de Carlos que t'as pas intérêt!

Il recule aussitôt!
Ahh je me sens soulager!
Si j'étais sérieuse? Biens sûre je crois que j'aurais coupé les ponts avec lui!
💎 La bouffe c'est précieux!💎

-Tété: T'exagère!

-Moi: Ouais, ouais mange.

-Tété: 😛

-Moi:😒

-Tété: Tu dois rentrer à quelle heure?

-Moi: Dans quinze minutes.

Dis-je sans bronché en continuant de m'empiffrer.

-Tété: Tu peux pas rester avec moi cette après-midi?

Je dois vraiment bosser, si je veux avoir du temps pour régler mes problèmes en Amérique.

-Moi: Nan, impossible.