Love me like you do

Chapitre 94

-Moi: Qui m'a dit que j'étais belle?

-Tae: Ouais?

-Moi: Toi.

Il fait une grimace choqué et me dévisage.

-Tae: J'étais bourré? Tu m'as drogué? Non je devais surement avoir pitié de ta mocheté.

Je lui balance ma fourchette qu'il esquive de justesse.

-Tae: T'ES MALADE?

Je le pointe avec mon couteau.

-Moi: Je suis moche?

-Tae: Nan t'es magnifique mon coeur.

Je souris épanouie.

-Moi: Voilà quand tu veux!

Je baisse mon couteau.

-Tae: Conasse! T'es complétement timbré!

Je ris.

-Moi: C'est pour ça que tu m'aimes?

Il prend le couteau et la cuillère de devant moi.

-Tae: Non, je t'aime pas!

-Moi: Ok. Ok.

J'ai plus de munitions. Je prend une tartine et je me met à manger.

-Tae: Salle folle!

-Moi: Mais je suis folle de toi mon amour!

Dis-je avec un sourire moqueur.

-Tae: Ouais, je sais toute les filles tombent sous mon charme.

Il me fait un clin d'oeil tout pété.
Je hausse les sourcils.

-Moi: Mais il y en a qu'une que tu aimes!

Il sourit.

-Tae: Ouais c'est ma mère!

-Moi: T'as le droit! T'as le droit!

J'ai un tout petit peu la haine. Mais vraiment un chouïa!

-Tae: Sale tête va je meurs pour toi!

Je reprend ma cuillère en souriant et je la plonge dans le Nutella sous le regard effrayé de Tae.

-Moi: Quoi?

-Tae: Mais....Mais t'es pas sérieuse?

Je la met dans ma bouche.

-Moi: Quooiiii?

-Tae: Laisse tomber.

On mange en rigolant. Je l'aime trop ce mec quand je suis avec lui, je fais que rire.

Deux heures plus tard on est sur le canapé, allongé. Il est couché sur moi et a sa tête sur ma poitrine. Il regarde la télé, moi je regarde des vidéos five minutes crafts sur insta. Je kiff trop.

-Tae: Lâche ton tél.

-Moi: Mmh Deux sec!

Il me le prend, il l'éteind et commence à me faire des petits bisous dans le cou. Je frémis.

-Moi: Mmmmh Tae j'apprends à fabriquer des pots pour plantes en béton.

-Tae: Ça semble important...

Il continue et descend doucement vers ma poitrine.

Je passe une main dans ses cheveux et je masse son dos avec l'autre.

Il déboutonne ma chemise et se relève pour regarder ma poitrine avec admiration comme si c'était la première fois. Il l'a saisi délicatement comme s'il avait peur de me brusquer. Il s'abaisse et abat violemment ses lèvres contre mon sein gauche.