Je l'a voyait accroché au bras de mon frère jumeau, et dire que cette femme était marié, elle s'accaparait tout les hommes proches d'elle, Marier, fiancé ou célibataire Juliette s'en tapait complètement , Tant qu'on pouvait satisfaire ses envies à elle, rien ne l'a gênait . Moi, je me voyais très mal avec une femme de cette espèce, qui se faisait tripoté par tout les hommes riches de la contré. Mon frère lui ouvrit poliment la chaise et elle s'installait avec majesté .Alors que nous avions commencé à manger, Mon père venait nous rejoindre à table, il s'excusait d'être venu un peu en retard. le premier sujet de conversation fut la vie en couple, Juliette c'était marié il y avait à peine deux mois, la vie était belle pour elle puisque son époux passait son temps à voyager, elle avait donc tout le temps de fricoter avec ses nombreux amants , dont mon frère en fera bientôt partit. Plus le temps passait et je commençais à m'ennuyer à ce fameux dîner, je ne participais pas à leur conversation, pour preuve de mon indifférence je mangeais mon repas tête baissée sans rien demander. Chaque bruit de l'horloge m'exasperait , franchement il n'avait pas pu trouver mieux que Juliette a invité ? Et puis la question qui tournait la conversation vers moi.
-- Où elle est ta fille, Steve ? Me demande Juliette
Je relevais tout doucement la tête, en me forçant de répondre le plus gentillement et poliment possible
-- Sans doute dans ses appartement .
Elle me fit un petit sourire avant d'ajouter, la phrase qui me fâchait.
-- Tu as pu régler les conflits avec ta fiancé ?
Je déglutis rapidement ma gorgé de vin
-- Je n'ai jamais eu de fiancé. Tu veux être la première peut être ? Répondis-je, faisant semblant de retourner le sujet.
-- J'aurais bien aimé, mais hélas, je Suis une femme mariée.
Je fit un sourire forcé, et plongeait de nouveau la tête dans mon assiette, je m'ennuyais à mourir . Toute leur conversation m'accablais , faites que ce dîner s'achève très tôt.
Le repas terminé, je me m'excusais auprès de mes convives, pour monter travailler, ma mère avait insisté pour que je reste quelques minutes, elle ne trouvait pas sa très poli que je m'en aille à la hâte, je pretextais que je devais réfléchir à quelque chose, à une affaire politique très importante et que je ne pourrais avoir l'esprit en paix tant qu'elle ne sera pas résolu. Je semblait avoir été convaincant alors ma mère me laissait repartir sans broncher. Ainsi Je souhaitais une bonne nuit a Juliette et montais dans ma chambre.
Pris de fatigue, je me laissait tomber sur mon lit comme un sac de patate, j'otais mes chaussures . Je me remetais à penser à ce que je ferai. Je décidais enfin de compte de prendre des vacances, après tout je pouvais bien me reposer quelques jours. Lorsque j'aurai terminé mon affaire en cours j'irai au Congo, peut être en sud Afrique au Kenya ou en Angola. J'avais visiter beaucoup de pays occidentaux , mais rarement parti en Afrique, ma dernière visite dans un pays Africains remontait à 3ans.
Le sommeil me prit en moins de deux.
Au lendemain matin, dès le lever du soleil je me levais de mon lit et partait me prendre un bain, j'avais encore quelques petits détails à régler avec l'affaire de la Pologne .
Comme tout les jours, Angelina m'apportait le petit déjeuner, je m'étonnais de la voir sur pieds de si bonheur , je ne comprenais toujours pas pourquoi ma fille détestait que des femmes s'approchent un peu trop de moi ,elle rentrait dans une colère noire, pour un simple bonjour, ou une bise à une jolie demoiselle. Sa jalousie maladive m'inquiétais très souvent je me demandais de temps en temps, s'il n'était pas sage de l'emmener voir un psychologue, et je me dis d'autre fois, que c'est peut être le manque affectif d'une mère qui l'a fait se comporter ainsi, elle se dit peut être, être la seule de ma vie.
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INCOLORE ( Un Amour Sans Frontière)
Romance-- comment peux tu prendre la défense d'une esclave. Lui cria sa mère. Collin se raidit puis lançait un regard navré à Lidz, il lui avait pourtant promis de garder leur relation secrète jusqu'à ce qu'elle soit prête mais hélas, il se voyait dans l'o...