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Et pourtant,

Le soleil s'endors

Tout contre ta peau d'or.

Pendant ce temps,

Mon regard se dépose,

J'admire encore ta prose.

Tendrement,

J'eprouve quelques pensées,

Pour toi, mon Orphée.

Je déposerais,

Au creux de tes reins,

Milles caresses du bout de mes mains.

C'est attrayant,

La dévotion lorsqu'elle est pure

Lorsque l'amour est mûr .

Je hurlerais

Sans début ni fin, à l'abomination

Quand nous nous déchirons.

Alors doucement,

À tes côtés je me glisse

Pour toujours fuir ce précipice.



900vue presque les 1k allez je conte sur vous je sais que vous pouvez le faire !!!!!!

Recueil de poèmes Où les histoires vivent. Découvrez maintenant