Quand je sortis de lycée je vis Rylee avec tous ses amis près de sa voiture alors je partis pour ne pas l'envahir. Quand j'arrivais chez moi je pris une douche et je fis tout de suite mes leçon sans oublier d'éteindre mon téléphone pour ne pas être déconcentré car j'avais une dissertation très importante à faire qui représente 50% de ma moyenne en philo qui elle même représente 25% de ma moyenne général ce semestre. Je ne ralluma mon téléphone qu'à 2h du mat et je vis un appel manqué de Rylee, 5 de Steven et beaucoup de messages de potes à moi. Mon réflexe premier était bien évidemment de rappeler Rylee. -J'ai cru que t'étais morte, me dit-elle. -La dissertation m'a tuer en effet. -J'ai essayer de faire la mienne... -Tu veux que je la fasse pour toi ? -Va dormir mon amour, je ne veux pas que tu sois crever demain par ma faute. -À demain, dis-je d'une petite voix. -Je t'aime, dit-elle en raccrochant. J'avais vraiment l'intention d'appeler Steven puis de lire tous mes messages mais je crois que je m'endormis, j'étais complètement épuisé. Par chances ma classe commençait à 10h et comme je me réveillai en pleine forme en avance je décidai d'aller réveiller Rylee. Quand j'arrivai ça son frère qui ouvrit la porte. -Elle dors encore je crois, va voir, dit-il en m'autorisant à rentrer alors j'allai dans la chambre de Rylee et lorsque j'ouvris la porte, elle était endormi sur son bureau avec encore son stylo à la main. La pauvre, quand je vis qu'elle n'avait pas terminé sa dissertation je termina pour elle en imitant sa belle écriture au maximum puis je lui fis des bisous pour la réveiller en douceur et quand elle me vis elle me fis un sourire. -Ouvrir les yeux et te voir putain ça me fou grave de bonne humeur, me dit-elle Je me mis à califourchon sur elle puis je l'embrassai langoureusement. Elle posa les mains sur mes fesses et me rendis mon baiser. Ses lèvres avait le don de me donner des frissons dans tout le corps car elle me fit des baisers dans le cou, sur la poitrine et de plus en plus bas sans que je ne puisse l'arrêter. J'appréciais vraiment ressentir tous ça. Lorsqu'elle arriva en bas de mon ventre elle s'arrêta net puis me regarda avec un sourire bien pire que sadique, mdr. -Bb ne me dit pas que tu vas perdre à 2 jours du jeu ? Je te croyais plus coriace. Je la poussa et j'allai m'assoir sur le lit. -T'es qu'une bitch je te déteste, dis-je. -Moi aussi je t'aime, dit-elle en riant et en prenant sa serviette pour aller dans la salle de bain se préparer. Pendant que je l'attendais comme je m'ennuyais j'allais dans la galerie de son téléphone pour faire passer le temps, sans jamais infiltré ses messages bien sure je suis pas comme ça. Par hasard, je tomba sur quelque photo d'elle avec ses ex, j'étais pas bien là. Pourquoi elle garde ça !?
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Quand elle sortit de la salle de bain elle reprit son téléphone sans rien me dire. -Tu as eu autant d'ex ? Demandais-je. -Honnêtement ? Bien plus, là ce sont des photos qui dates de 2- 3 ans que j'ai trouver sur mon ordinateur par hasard alors je les ai récupéré. Mon précédent portable est mort alors j'ai perdu mes récente photos, dit-elle sincèrement. -T'es sortis avec tout Chicago quoi... -Commence pas s'il te plaît, dit-elle. -T'aimerais être juste "une de plus" !? -J'ai rien pour te prouver que je t'aime vraiment, j'aurai beau te le dire tu vas faire que me soûler avec ça alors pense ce que tu veux. P'têtre qu'avec le temps tu me croiras, dit-elle faisant son sac. -J'veux pas qu'on se prenne la tête ok. -Bien sur que si tu le veux, sinon peut être que t'essayerai de faire confiance. -Comprend moi, met toi à ma place ! -Non bordel, jusqu'à maintenant est-ce que moi je t'ai fais des reproches ? T'as un mec, je ferme ma gueule ok mais tu crois que ça me fait plaisir ? Loin de là. Et pourtant je me contente, et même si j'ai des doutes je fais confiance, merde. -Bb...répondis-je a cours d'arguments. -Bah non tu sais que j'ai raison, dit-elle. De ouf, ma crise de jalousie était, j'crois très mal placé mais c'était trop tard. -Je suis désolée, dis-je en venant dans ses bras comme un bébé, elle n'avait d' autre que de me pardonné.
