Les gens disent que quand on meurt, on vois une lumière blanche, on revois nos souvenirs. Et c'est sûrement vrai. Pour ma part, je ne vois que des blouses blanches et à travers ma fenêtre je peux apercevoir, le ciel tout gris, le vent qui tape contre les fenêtre, et la pluie qui tape contre ma vitre. Je pense qu'on est en hiver, la réalité des choses c'est que je ne sais même plus l'heure, la date ou la saison qu'il est. Le temps c'est arrêter, c'est comme çi tous le monde attendais que je m'endorme à tout jamais. J'entends la porte de ma chambre s'ouvrir, et les gens qui me touchent pour savoir si je suis toujours là. Mais mon cœur tient, comme si il lui restais des choses à faire dans ce monde. Au fond de mon lit d'hôpital, je repense au moment de ma vie, à ma jeunesses, à tout ces parties de vie heureuse ou douloureuse qui mon construit. Je pensais à ce moment avant, j'avais peur de la mort. Mais aujourd'hui je l'attendais comme une vieille amie, la vie m'a donner des opportunités, des douleurs, des larmes, mais des bonheurs immense. Je regarde mes mains elles sont toutes ridés, je touche mon visage plissées je pense avoir bien changer de la jeune fille que j'étais autrefois. Ma chambre d'hôpital est décoré de souvenirs, de photos, de ma famille. Au moment ou je regarde ce photos j'entends la porte de ma chambre s'ouvrir et une voix familière qui me parle.
« Maman, ça va ? »Tout en déposant un baiser sur mon front
Je me met à la regarder,poser ces affaires, réglé la télé. Elle est très belle, elle tient beaucoup de son père. Elle à des cheveux brun tout bouclés avec des yeux noisettes, elle est très élancés. Ma fille et moi on à toujours été très proche encore plus depuis le décès de son père. Elle est toujours au petit soin pour moi et je sais que cette période doit être compliquer à vivre.
J'avale ma salive et récupère mon souffle pour lui parler « Mya, s'il te plait rapproche toi... » Ma voix étais fébrile, j'arrivais à peine finir mes fin de phrases.
Mya : « Oui maman, qu'est-ce qui a ? Tu as besoin de quelques chose ? »
Moi : « Oui...J'ai très froid. Je voudrais une couette de plus s'il te plait ma puce. »
Mya : « Oui attend je vais en prendre une dans l'armoire » elle continuais à parler en prenant la couette : « En même temps en ce moment il fait très froid, c'est l'hiver il annonce de la neige tu étais au courant ou pas ? » Elle met la couette sur moi.
Moi : « Non je ne savais pas » avec une tout petite voix, toujours à bout de souffles
Mya : « Bah maman tu ne plus en qu'elle saison on est ? Dans quelques jour c'est ton anniversaire en plus tu aura 85 ans tu te rappelle ? »
Moi : « Non je ne m'en souviens pas, tu sais je perd la mémoire. La seule chose que je ne veux pas oublier c'est ton visage et celui de mes petits-enfants » avec une larme à l'œil
Mya : « Maman repose toi, ne t'inquiète pas je reste ici. Tu ne m'oubliera pas »sa voix tremble comme si elle voulais pleurer
J'ai commencer à m'endormir, et des bruits derrière la porte m'ont réveillés. J'ai reconnu la voix du médecin qui parlais avec Mya.
Le médecin : « Madame Tegorf, les résultats ne sont pas bon, son état empire d'heures en heures
... Votre maman ne tiendra pas la semaine et la nuit risque d'être compliquer. Je suis désolé »
Je pouvais entendre ma fille retenir ces larmes, mais elle étaient trop forte elle se doutais bien que je partirais bientôt mais pas aussi vite. Je l'entendais en train de reprendre son souffle pour lui dire que elle resterais là toute la nuit, et elle a pousser la porte de chambre en essuyant ces larmes. Elle a tourner ces yeux vers moi et ma vu en train de la regarder.
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Le journal intime
RomanceMarion 85 ans, ce retrouve à l'hôpital elle est en fin de vie. Les médecins lui annonce qu'elle ne passera pas la semaine. Au fond de son lit d'hôpital elle repense à sa vie d'avant, son premier amour, sa famille et au lourd secret qu'elle garde dep...