Taïs (Pause Et Je Pense Jamais Le Finir)

Chapitre 6 : Le retour des coups

Le lendemain matin, Taïs arriva au collège, le même groupe que la dernière fois vinrent la voir :

- Salut débile !
- Ouai salut microbe, comment sa va ?
- Euh.....bien....
- Par contre tu ferme ta gueule sinon sa va pas le faire !
- Tu as amenée un goûté pour toute à l'heure sal petite conne ?
- Euh.....
- Ok

L'une des filles arracha son sac avec force, Taïs déséquilibrée tomba par terre ~NON, à laide~, le garçon marcha alors sur le creux de son épaule et commença un peu à lui donner des coups, pas trop fort, dans son ventre. Une fille pris alors sont sac et fouilla dedans, elle en sortit des cahiers, une trousse et son goûter qu'elle pris alors.

- Bon salut petite conne !
- Ouai bye débile !
- .....

Taïs se relèva, une larme, froide, coula sur ses petites joues, elle ramaça son sac, mis alors ses cahier déchirés dedans avec sa trousse. Elle recentait un trou dans son épaule, comme si une balle venait d'être tirée, elle souffrait.
~Stop arrêter, j'en ai marre, j'ai mal !~

Le midi, Taïs mangea alors seul, dans un coin de la cour, personne ne la voyait, tranquille.
La sonnerie retenti, Taïs monta, avec prudence, dans sa classe de SVT. Le cours se passa en toute sérénité.
La récréation de l'après-midi arriva et Taïs s'assit dans un coin, une fille vint la voir.

- Salut p'tite conne, sa fait mal si j'appuie là ?

Elle lui marcha sur la cheville.

- Aille...euh...
- Bon je croit que ta pas trop mal sal débile donc Salut !

Je me relève, la cheville écrasée.
La fin de la journée arriva, Taïs attendait sa mère quand le petit groupe de ce matin vinrent la voir.

- Tu dit sa a quelqu'un on te tue ok ?!
- Euh..... Oui....
- Ok bon salut bouffone !

Le soir, au dîner, Taïs ne parlait pas. Elle se contentait de mangeait sa soupe au légume, assit sur sa chaise.

- Sa va mon poussin, tu n'a rien dit se soir, tous se passe bien au collège ?
- Oui....~NON maman, aide moi, s'il te plais, à l'aide~....tous va bien.....~NON~....
- D'accord si tu le dit.

Taïs monta dans sa chambre, se mit au lit et repensa a cette affreuse journée qu'elle venait de passé, toujours cette larme froide, qui coula le long de ses belles joues.