Promenade

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Une jeune adolescente se faufile entre les arbres, un pas de course après l'autre, son souffle toujours plus dense, ces muscles qui se cambrent tout en traversant le sous bois avec l'allure d'une gazelle. Son sourire au lèvre dépend de sa vision, parfois elle aperçoit un geai qui tisse ces plumes brunes et verdoyante d'autre fois un écureuil qui se terre dans les feuillages ombragés des arbres pour la fixer de sa hauteur. La nature est ce qui fait d'elle un être heureux, car rien de plus vivant que les animaux, les plantes, est plus beau a ces yeux. La liberté de pouvoir parcourir des chemins sinueux en fonction du mystère de la plantation de la nature est une chance inuit pour Aries, même si quand bien même elle arrive a esquiver les larges troncs des arbres, leurs branches par contre ne sont rien de plus que ces ennemies. Il arrive que ces bras nues se froissent avec des légères griffures, que ces jambes ne puissent plus se relever après qu'elle est trébuché à cause de plante entremêlés ou bien qu'une entorse d'antan l'empêche d'avancer en plus de la faire grimacer. Seulement c'est une fille d'ambition, elle court pour le plaisir de voir la beauté qui l'entour lorsque sa maladie se tapis sous son lit de mortel.

Ariès s'avance par mégarde entre deux buissons, son bassin et ces genoux forçent pour la projeter a travers des rosiers quand soudainement son pied glisse malencontreusement sur le sol mouillé. Son corps s'entre choque alors avec une pierre au sol qui l'attire dans la descente d'une pente endiablé, la cambrousse empale sa peau blanche, la boue envenime l'image de pureté qui l'embellissais tandis qu'un tronc comme dernier obstacle la fait brusquement tousser et manquer d'air, elle peine a retrouver ces esprits. Son coeur précipité la fais suffoquais, elle ne retrouve ni le son de sa voix ni une seule expiration. Sa tête frôlant le sol, ces poignets incrusté dans la terre, Ariès serre les poings sentant que sa sera la dernière fois qu'elle pourra être épanoui dans la verdure proche des êtres dont elle aime et dont elle est le plus reconnaissable. Car c'est le seul lieu qui l'accepte en tant que rejeton de la société.

Accepte moiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant