Rencontre

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Une main inconnu relève soudainement son menton, appuyant sur son épaule droite pour la tenir contre le sol, ensuite elle pince son nez et ouvre sa bouche. Ces yeux troubles l'empêche de voir clairement qui essaye de la sauver. Cette même personne pose ces lèvres contre les siennes et souffle plusieurs minute a diverse reprise avec 10  seconde d'intervalle, Ariès retrouve dans un fracas d'émotion une énorme bouffé d'aire. Elle perdit malgré elle conscience, se laissant tomber par terre.

Elle se réveilla peu à après au bord d'une rivière et un feu de camp ainsi qu'une petit hutte faite en peau de daim claire. Son visage perd de sa couleur lorsqu'elle se rend compte que le soleil est entrain de se coucher. Une odeur attire sa gourmandise, son nez se tourne vers des poissons grillés au coins du feu. Ces yeux encore incommode à la lumière se ferme scrupuleusement donc instinctivement elle se lève pour tourner le dos à la rougeur du flamboyant bûcher qui réchauffait déjà son dos. Ariès sursauta subitement lorsqu'elle pressenti une perturbation dans le bruit du courant d'eau.

Ces yeux croisent celui d'un homme mais son corps n'en est pas moins celui d'une bête. C'est membres minces et élancés arrive facilement a sauter entre les multiples rocher qui bloque le courant de la rivière, jusqu'à arriver devant Ariès. Son long museau, ces oreilles légèrement retroussés, la queue agité montrant un louveteau excité d'une nouvelle rencontre la surpris encore plus que l'évocation de sa ressemblance avec les humains plus tôt. L'adolescente était consciente que c'était un animal sauvage mais sa tendance naturelle a vouloir socialiser avec des êtres non humains l'attire machinalement a tendre la mains vers le loup qui se tenait sagement devant elle. D'un pas léger il avance vers sa main, sentant ces doigts parfumés d'une chaire tendre et douce mais son instinct lui dicta l'inverse dont il devrait faire. Sa langue s'introduit entre deux de ces doigts sous un écho de surprise de la jeune fille, elle ne pu se retenir de rire quand il se mit a lécher même son bras jusqu'à demander a être caresser en baissant sa tête vers ces pieds ce qu'elle ne se retient pas de faire. ''Tu dois bien te sentir seul ici petit loup'' dit Aries au creux de son oreille en lâchant un baiser dans sa touffe de poil sous son cou et toujours avec plein de tendresse. En déséquilibre à cause de ces jambes fléchis pour le prendre dans ces bras, elle tomba lorsque le loup la poussa pour sentir son odeur. Le silence n'étais qu'un souffle de passé lorsque le petit corps de Ariès tomba dans la rivière où le courant était largement trop fort pour ces muscles inachevé et son incapacité à savoir nager. Elle se débattit sans relâche, ayant tout de même pied, elle réussi a se pousser en dehors de l'eau et s'écrasa contre le sol. Le carnassier inquiet vint suspendre son visage de sa bave visqueuse pour être sur qu'elle soit encore de ce monde. Ariès ouvra ces yeux comme un nouveau née et souffla plus tranquillement lorsqu'elle se savais moins seule. Son faible corps tremblait à la suite de courant d'air frais sous un ciel étoilé resplendissant. Tout en s'appuyant sur le loup qui voulait l'aider, elle réussi à se tirer sur ces jambes et a rentrer dans la hutte qui n'était pas bien loin. Il ne fallut pas plus d'une minute pour qu'elle s'assoupi au coté du loup dont la fourrure incroyablement douce lui rappelais son chez soi, son petit lit douillet dans une maison de cauchemars et de violence tordu.

À son réveil, elle était recouverte d'une légère couverture de fourrure de lapin cousu entre les unes et les autres. Elle se demanda comment elle a fait pour se retrouver couverte pour cacher sa nudité  alors qu'elle n'y était pour rien. Ariès passa sa tête à l'extérieur de la hutte pour inspecter si il n'y avais personne dans les parages, elle ne vit que des arrêtes éparpillées sur le sol ainsi qu'un bol sculpté en bois dure remplis de fruits des bois. Elle se dirigea vers le contenu du bol tout en évitant les arrêtes à l'aide de ces pieds habile et nue afin de récupérer quelque framboise pour les déposer dans sa bouche. Un sourire de bienséance s'esquisse sur son visage, tout au long de sa vie, elle se sentait pour une fois à l'abri et saine et sauve. Son petit creux au ventre l'obligea à s'empiffrer de ces petits délices, elle apporta ensuite à la bouche le breuvage frais qui était dans un verre en bois de chêne.

Le loup d'hier arriva subitement des buissons qui longeait le chemin qu'elle devait prendre pour rentrer chez elle. Ariès fixa le loup qui au lieu de venir vers elle directement, continuer dans sa lancé en passant à coté d'elle ce qui la fit se retourner pour continuer à le suivre du regard. Le loup montra du museau un étendoir créé seulement à l'aide d'une main d'homme, d'une technique parfaitement tenu pour que cela soit esthétique a voir ayant accroché des lianes dont les feuilles on était délicatement enlevé, a exactement 20 centimètre d'intervalle les unes au-dessus des autres dont la base était précisément ligoté au tour de deux arbres parcouru de trous dont la taille pouvais faire penser a la place d'un pied humain qui devait sûrement servir pour grimper et accrocher les lianes vu leur hauteur. Ces habits séchait devant ces yeux à l'aide d'une brise unique d'automne, sous le soleil ardent d'un temps harmonieux, elle enleva avec délicatesse les attaches faite en liane aussi pour les déposer sur un tronc coupé a ras puisqu'ils étaient clairement sec. Elle laissa ensuite tomber sa douce couverture à la vu de la précieuse nature. Elle n'avait pas honte puisque le loup n'était qu'un loup et le chemin n'était qu'un chemin vide dont seule elle connait l'existence.  Ces désirs pris sur elle, une envie pressante de se baigner dans cette eau maintenant calme l'envahissait de plus en plus fortement à chaque instant. Elle courra puis sauta dans l'eau, des coups de bras et de jambes l'aidèrent à remonter quasi à la suite à la surface, elle respira calmement en s'asseyant dans un coin dans l'eau, des poissons la frôlant au rythme du cycle naturel des espèces animales. Le loup la scrutait de loin, son regard insistant la mettait parfois hors d'elle telle qu'elle se sentait obliger de lui tourner le dos. L'éclat dans ces yeux montrer bien qu'il était doté d'une certaine intelligence sans égale, sa  surprenante coopération et son amabilité digne d'un animal domestiqué était d'une rareté inuits. Il s'approcha entre temps pour mieux entendre ce qu'elle lui racontait. Puisque tout en fermant les yeux, elle avait envie de partager son histoire a cet être étranger a qui ça ne l'embêter pas de l'écouter.

Accepte moiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant