Peter s'inquiétait de ne toujours pas avoir de nouvelle de Brook. Ça faisait 36h qu'il ne l'avait pas vu. Il ne devrait pas s'inquiéter. Mais si jamais Sylar venais chez Claire ? Il appela Tom pour savoir si tout allez bien;
- Allô ? C'est Peter, Brook est toujours en sécurité ?
- Allô, c'est Claire, mon père et Brook rentre normalement dans 30 minutes. Ils sont allez à la compagnie aujourd'hui.
- A la compagnie ? Pourquoi ?
- Bas, elle est devenue la coéquipière de mon père. C'est lui qui a proposer.
- Quoi ?! Comment ça ? C'était pas prévue.
- Oui, mais elle pourra apprendre à ce servir de ces pouvoirs. Et Mohinder pourra l'examiner car lui aussi est dedans à présent.
- Elle pourrait être en danger ! Sylar sais où est l'usine. Il sait donc aussi où est cacher la compagnie.
- T'inquiète pas. Elle va bien. Tu devrais allez voir ta mère. Elle m'a appeler aujourd'hui.
- Et elle t'a dit quoi ?
- Et bien des choses par rapport à Brook.
- Comment ça ?
- Appelle la. Puis elle raccrocha.
Peter trouvait bizarre la façon dont parler Claire. Mais cette discussion l'intriguer, qu'a pu bien dire sa mère ?
Il alla donc lui rendre visite chez elle.
- Chez Mohinder Suresh-
- Gabriel ?
- Salut !
Ils se regardèrent, les yeux dans les yeux, le temps semblait figé. Brook avait peur. Son cœur battait fortement.
- Tu est venue me tuer ?
- Oui, mais te tuer est impossible.
- Pourquoi ? Je ne t'aime pas ! Ne crois pas que nous avons un destin ! J'aime quelqu'un d'autre.
- Tiens, c'est vraiment bizarre. Tu savais que je pouvais savoir si tu dis vrai ou faux ?
- Je suis amoureuse de Mohinder c'est vrai !
- C'est ce que tu crois mais, tu vois, je sais que c'est faux. Mon pouvoir me la fait comprendre.
- Ton pouvoir se trompe ! Tu est un tueur en série ! Je ne suis pas comme toi !
- Faux ! Encore une fois.
- ARRÊTE ! JE NE VEUX DU MAL À PERSONNE !
Elle cria si fort que Monhinder l'entendu. Il courra avec un peignoir qu'il avait pris en se dépêchant. Il vu Sylar et Brook par la fenêtre. Il tenta d'ouvrir la porte. Mais Brook la ferma avec ses yeux. Puis elle le regarda dans les yeux. Il crié lui disant de lui ouvrir mais il pouvait lire sur sa lèvre « je n'aimerais pas qu'il t'arrive quelque chose... » puis elle lui sourit et s'envola emportant avec elle Sylar.
- Plus haut dans les airs-
- J'aimerais qu'on en finisse au plus vite. Je peut te tuer tu sais ? Je sais mieux me servir de mes pouvoirs maintenant.
- Voyons ça. Du feu surgit de ses mains. Il envoya un éclair de feu sur elle. Elle fut brûler à la jambe.
- AÏE ! A son tour elle approcha de lui et réussi à lui faire un bisou. Il le fallait, elle ressenti ces capacités entrer en elle. Puis à son tour elle le brûla au visage. Mais son visage se recomposa.
- Alors comme ça, tu a mes pouvoirs en m'embrassant. C'est pas mal ça. J'ai vraiment hâte d'avoir ce pouvoir !
- Oh mais tu ne l'aura jamais. Tu mourra bien avant. Puis elle l'agrippa a la gorge. Il l'expulsa. Et la maintenu a son tour à la gorge.
- C'est dommage, j'aurais vraiment pensé que tu aurais aimer retrouver ton vieil ami.
- Qurroir ? Larreche mrroi !
Il lui lâcha la gorge. Elle toussa puis,
- Comment ça ? De qui parle tu ?
- C'est moi; Gabriel le petit garçon qui te rendais visite tout les samedi à l'orphelinat.
- Quoi ?! Je ne te crois pas !
- Si si. On c'était même embrasser derrière un canapé. La directrice nous avait vu. Tu t'était fais punir 1 mois dans ta chambre. J'ai bien cru que l'on t'avait adopter. Alors je ne suis plus jamais revenue, je venais de perdre mon seul véritable amour...
- Que...Quoi ? Qu'est-ce qu'il me dit que tu me dis des bobards ?
- Eh bien, tu a mes pouvoirs. Tu sais donc si je dit vrai ou faux.
- Alors c'est vraiment toi ? Comment tu t'en ai souvenu ?
- Cette cicatrice sur ton oreille. C'est moi qui te l'avait fait en voulant te mettre des boucles d'oreilles
- Les boucles d'oreilles bleu qui ressemble à la lune ?
- Oui... celle là.
- Tu était un garçon si gentil.
- Je le suis encore !
- Non ! Tu tue des gens ! C'est gentil ça ?
- Non ! Mais toi tu sais qu'il manque toujours quelque chose quand tu perd quelqu'un qui t'es cher ! Et tuer des gens était comme une solution... j'en suis pas fier mais personne ne m'a appris la pitié ! Personne ne m'a appris à aimer. Sauf toi... Brook ? Tu pleure ?
- Oui Gabriel ! Tu me sauve puis tu me dis que tu tue des innocents puis ensuite tu me raconte que tu a été le seul que j'ai vraiment aimer !
- Depuis que je t'avait perdu j'étaie tombé dans une dépression ! Mais maintenant que tu est là... je me rend compte que tu est tout pour moi !
Il avait tout les deux les larmes au yeux, de bonheur ou de tristesse. Il ne savait pas.
- IL SONT LÀ ! LACHE LA, SALE MONSTRE !
Ils regardèrent derrière eux. C'était Peter; Nathan et Mohinder. Mohinder tira avec une arme sur Sylar.
- NON ! Brook se mis devant Gabriel. Et pris la balle en plein cœur.
- BROOK ! Mohinder s'approcha d'elle mais Gabriel l'a pris dans les bras et s'envola. Peter et Nathan le suivi.Partit pour une grande course poursuite.
