0.2 Vu D'autour

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22.11.18

sous les sons endiablé que sont t'es pleures, j'ai réalisé que la vie n'était pas si rose, que les gens eux-même avaient des peurs, et que même le meilleur être humain sur terre pouvais se gourer bêtement et briser des cœurs.

sous les pluies violentes des soirs d'hiver, j'ai aperçu quelques hommes pas très couvert, allongé à même le sol glacé, pourtant ils respirent le même air, pourtant ils n'ont pas les mêmes droit, et les mêmes rêves.

sous les craquements amoureux de mon intérieur, j'ai jamais cru à cette histoire d'heure, où l'on souhaiterai sa propre mort pour une histoire de cœur, mais aujourd'hui le temps fut sévère et je fus un homme accumulateur, qui était tellement craintif de la douleur qu'il on fuyait les potentiels âme sœur.

On nous déclare à la télé que le monde a évolué, nous voilant vicieusement les pays où la guerre est la même qu'il y a des décennies, levé les armes, visé, tiré !  Âme innocente retiré, alors c'est en s'en prenant au dénudés que l'on améliore notre belle société ? Alors la violence ne résous rien, mais nos taxes mène à enrichir des armées ? Beau la folie.

Ainsi on nous dis de ne pas se plaindre, car la vie a offert pire à certains, puis on nous dis ensuite qu'il faut savoir dire les choses car cela fais du bien, mène à posé le fardeau durement porté, à se sentir léger. Et pour finir en nous déclare que la patience est la clés qui réglera tout soucis, hélas pour certains, les impatients de ce bas monde, la Faucheuse est le meilleur raccourci, à croire qu'une fois sous terre en obtient la réussite, seul le repos les intéressaient mais nous aussi, suivons les, soyons moutons, alors qu'en est-il ?

Le Refuge Littéraire Où les histoires vivent. Découvrez maintenant