Jacob loup garou.
Hermione sorcière.
Deux mondes différents.
Peuples ennemis.
Et pourtant ...
J'ai beaucoup de mal à écrire des nouveaux chapitres en ce moment j'ai vraiment pas d'inspiration.
Pdv Hermione : Après l'après-midi de cours, Jacob et moi traversons un parc qui mène chez moi.
Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.
Dans le parc, nous discutons des profs et de l'école en général. Quand nous croisons les Serpentard, il n'y avait personne dans le parc mais il a fallu que eux y soit. Malefoy prend donc la parole : - Et là sang de bourbe va dans un autre parc avec ton copain. - Désolé Malefoy c'est un parc public, il y a pas écrit appartient à Drago Malefoy et ses abrutis d'amis. - En parlant d'amis, où sont les tiens à pars le truc qui te sert de réconfort, je vois pas où ils sont. Ils ont même pas essayé de savoir pourquoi tu pleurer, ils ne t'ont fait que des reproches sur le faîte que tu défends les loups garous et que tu sois parti sans eux. Moi au moins j'en ai des amis. C'était trop je pars en courant et vais m'adosser à en arbre où je pleure. Soudain j'entends des cris effrayés, je me lève et retourne sur mes pas. Je vois Jacob en loup garou et il a l'air très énervé . Je fonce vers lui pour l'aider à se calmer mais Malefoy ne m'aide pas : - Alors comme ça tu traîne avec les loups garous Granger ! Mais c'est quelle est vilaine la petite fille ! - Ferme la Malefoy, lui dis je. À ce moment là Jacob fonce sur Malefoy qui se fait griffer au visage et au ventre. Malefoy sors sa baguette et casse la hanche de Jacob à l'aide d'un sort. On entend un hurlement de douleur de Jacob qui s'évanouit tout de suite après a cause de la douleur. Malefoy pars alors comme un lâche avec ses amis, tandis que moi je me précipite vers Jacob qui était revenu à la forme humaine et nous fait transplanné dans ma chambre ( pas a l'hôpital puisque sinon ils vont découvrir que c'est un loup garou) ou je l'alonge sur le lit. J'applique alors les sors que l'on a appris en cinquième année pour le soigner. Quand j'ai fini je lui met un bandage et attend qu'il se réveil. Il se réveil alors une heure plus tard et dis : - Merci. - C'est normal. A tu faims ? - Je vais y aller, je ne veux pas déranger. - Tu ne dérange pas, et tu ne peux pas marcher. Donc tu restes ici et je vais t'apporter à manger. - Je ne veut pas que tu te fâches avec tes amis pour moi. - Je fait ce que je veux. - Têtu comme une mule. J'ignore la remarque et vais lui chercher à manger. Quand je rentre dans la chambre il est assis sur mon lit et regarde dehors. Je dis alors : - Lasagne, ça te vas ? - C'est mon plat préféré. - Tant mieux. On passa le reste de la soirée devant un film et on s'endormi.
