Part 1

58 7 2
                                    

Fille unique et mère d'une famille de 5 enfants, Sophie n'avait jamais été causée par un problème de modèle. Parcours scolaire sans faute, jamais les parents de Sophie s'étaient convoqués dans aucun des établissements quelle avait fréquenté. Sophie était très réservée comme enfant, elle n'avait pas d'amis, son social était la maison avec sa famille et ses frères, elle était en train de devenir ce qu'elle a été. tâche à ses parents à s'occuper de ses frères. Très tournée vers la famille, Sophie s'inquiétait des problèmes financiers de ses parents plus qu'eux-mêmes, elle était capable de faire des économies sur presque tout dans la maison pour ne pas baisser les factures par mois. Lorsque ses parents ont eu des soucis elle était affectée plus que les concernés. Si elle était l'objectif de la vie, Sophie elle avait une autre conception des choses: réussir tout pour faire plaisir à ses parents et assurer leur retraite.

Mais il y avait un hic; SOPHIE et sa n'ont jamais été proches, elles ne se sont jamais comprend non plus car malgré tout l'estime et tout l'amour qui lui a été filé Madame Konen était une de ses mères à l'ancienne qui mettait des enfants rien ne se passe pour ceux qui sont impliqués dans leurs parents plus tard pour ainsi compenser ceux qui ont été passés sur eux durant leur passage chez eux. Sophie a beaucoup souffert de ce manque de communication entre elle et sa mère, souvent à la fac elles entendaient les autres filles qui vantaient leurs bons rapports avec leur maman, elle n'avait rien de tout ça. Elle avait réussi à se mettre en tête que sa mère ne l'aimait pas, elle-même, les conversations de sa mère à fille, sa mère se sont évaporées ou sont devenues moins sermonnait quand celle-ci a été essayée. aborder les sujets sur la féminité, le sexe ou le foyer. Madame Konen répétait toujours la même phrase à sa fille: «Si je t'ai mis au monde, c'est pour que tu me rendes bien, tu dois juste m'obéir, le reste ce n'est pas important! »Sophie était abasourdie après chaque propos du genre et que cela endurcissait son cœur de plus belle.

Ayant réussi brillamment ses études, Sophie était une poste de diplomate à Londres. Elle était bien payée et avait réussi à se soigner de ses parents et de ses petits frères, ceux-ci étaient tous inscrits dans les universités prestigieuses d'Europe après leur bac. Sophie était fière d'elle-même qu'elle avait accompli dans la vie, mais qu'elle était vraiment plus estimée pour sa mère l'accusait (indirectement) de son repli social. En effet, Sophie Konen malgré son titre, ses diplômes et sa belle femme n'était pas mariée, elle n'était pas plus fiancée ou petit ami. Elle ne voyait personne sous prétexte qu'elle ne plaisait pas aux hommes pour ceux qui la-franchissent franchement le grand pas avec elle, du moins c'est ce qu'ils ' elle faisait croire à son père. Qui malgré qu'il était fier de sa fille, souffrait de la savoir toujours célibataire du haut de ses 34 ans. Sa mère, personne ne savait si le fait que sa fille ne soit pas mariée l'a gênait, mais elle ne cessait de se vanter de la maison à Bassam tout en bordure de mer que sa fille leur avait achetée pour leur retraite, on n'aurait dit qu'elle n'avait d'yeux que pour cette maison.

Différentes façons d'aimerOù les histoires vivent. Découvrez maintenant