Chapitre troisième : Roi Berserkr

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Trois jours plus tard

Je me tenais face à mes nouveaux ennemis, Abygaille avait donné le commandement de sa grande armée, quelques choses me passa par la tête. Faire le même discours que lors de mon combat contre mes frères.
"Avons nous peur de mourir ?
Non!
Voulez-vous mourrir de vieillesse dans vos lit?
Non!
Plus belles est la victoire lorsqu'elle est difficile" hurlais-je.
Mon armée hurla, sa puissance se faisait entendre jusqu'à l'armée voisine.
"En avant" hurlais-je en levant mon support.
Ma gigantesque armée fonça droit sur l'ennemi.
L'armée voisine nous fonça dessus également.
Épée contre épée, le combat pouvait commencer.
Je dégaina mes deux haches, je comptais combattre malgré mon handicape.
"Ragnar, regarde se que je fait par amour pour toi" hurlais-je.
L'un d'eux vena vers moi. Je lui fenda le crâne d'un coup de hache. Je ria en voyant le sang couler.
"A l'attaque" hurlais-je.
La faction de mon armée cachait dans la forêt sorta armes a la main près a mourir pour leur liberté.
Abygaille me fixa longuement, bien que je m'en fichais un peu. De mon œil unique j'observais la scène, t'elle Odin observe Midgard.
"Björn, tu vas bientôt goûté a ma vengeance" soufflais-je.
Mon armée pris bientôt le dessus. Quelques minutes après nous avons gagné.
"Que faisons nous des survivants ennemis ?" Demanda Abygaille.
"On les décapites" répondis-je sèchement.
Le soir même.
"Peuple de Belfost,
Je vous offre un grand sacrifice" annonçais-je.
Le premier prisonniers fut amené, c'était un jeune d'une quinzaine d'années.
"Lever" hurlais-je.
Le bourreau leva sa grande hache.
"Tuer" ordonnais-je.
La hache s'abaissa séparant la tête du corps de ce jeune homme.
"C'était son dernier soleil" soufflais-je.
Il en fut de même pour les quarante trois autres.

Le soir même dans ma tente

Abygaille était venu me rendre visite.
"Je voudrais vous remercier pour la victoire que vous m'avez offerte" me dit elle en se déshabillant.
Mais comment la satisfaire pensais-je. Je ne contrôle pas le bas de mon corps.
"Je sais que vous avez des soucis de virilité, mais je m'en moque" dit elle.
Elle m'enleva mon armure, me plaqua sur le lit avant de me chevaucher.
Elle enleva son haut. Pendant un court instant je crut voir Freydis.
"Ivar, n'y pensais pas" me dit elle.
Tout un coup je sentis un plaisir qui m'était encore inconnu, perdre mon œil était peut être la clé. Odin me rendait ma virilité.
Je la vit criant de plaisir.

Le lendemain.

Elle était allongé nue face a moi. Je lui carraissé la taille. Je l'aimé sans vraiment ressentir de sentiments.
"Pourquoi avoir exécuter ce gamin ?" Me demanda t'elle.
"Ce n'est pas pour rien que l'on m'appelle le Roi Berserkr." Dis-je.

Vikings Partie 1 Ivar le désossé : La Vie D'un Guerrier Où les histoires vivent. Découvrez maintenant